Mettez deux bonnes cuillères de cumbia colombienne des années 50 ainsi qu’une bonne dose de chicha péruvienne des 70’s. Ajoutez une pincée d’effets à la Tarantino, 100g de guitares électriques et de percussions chaudes, sans oublier un nuage de Cuatro, cette petite guitare vénézuélienne. Mélangez le tout au shaker et en rythme et voilà votre cocktail Passion Coco est prêt.

Savant mélange donc de cumbia, chicha et rock psychédélique, « Sudor y Arena » est un de ces albums qui n’a qu’un seul but : faire voyager n’importe qui l’écoute. Chaque morceau se déguste les yeux fermés et c’est à cette seule condition que les influences et les ambiances éclatent aux oreilles (western, hawaïenne, orientale) et ça vaut également pour les premiers notes trémolo de guitare électrique qui rappellent la bande-son du film Kill Bill.

Tout comme Quentin Tarantino, Anne, Antoine, Olivier et Romain chinent, recyclent et assemblent des genres très colorés qui respirent bon le sable chaud et la sueur (ça tombe bien parce que c’est le nom de l’album). Bon, on va arrêter de leur passer de la crème (solaire) et au cas où vous vous poseriez la question, le groupe ne vient du sud mais de l’ouest (Nantes, Angers, Rennes) et on ne sait pas quoi en conclure. En attendant de trouver une chute à cet article, ça s’écoute juste en dessous.

Passion Coco // Sudor Y Arena // MaAula Records

1 commentaire

  1. eeeeeeeeeeeeeeeeeuuuuuuuuuuuuurrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrkkkkkkkkkkkkkkkkk
    laaaaaaaaaaaaaaaaaa ppppppppppppeeeeeeeeessssssssstttttttaaaaaaaaaass

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