Avec « Working Class Woman » à paraître le 5 octobre chez Ninja Tune, la moitié d’Essaie Pas dit adieu à « Adieux au dancefloor ».

Faut-il encore présenter Essaie Pas et sa success story hollywoodienne, de son EP chez Teenage Menopause à l’album « Demain est une autre autre nuit » chez DFA ? On va dire que non. En parallèle de cette trajectoire, dans le backroom, Marie Davidson livre depuis plusieurs années une carrière solo dont son récent « Adieux au dancefloor » qui l’a définitivement imposé en Europe, partout là où les gens clignent des yeux sans avoir de conjonctivite.

Deux ans plus tard, coup de tonnerre (on exagère un peu, disons que ça fait plus de bruit qu’un playback de Britney Spears) et ça ressemble presque au Mercato footballistique, puisque Davidson vient de signer chez Ninja Tune pour son quatrième album, « Working Class Woman », qui est tout sauf un hommage caché à John Lennon. Sans surprise, ça sent la cuillère chauffée au briquet, les nuit blanches et la magie des gueules de bois (Marie a récemment étudié les œuvres perchées de Jodorowsky). Un premier morceau à se mettre sous la dent dès maintenant, et la première écoute préfigure d’un disque absolument sans compromis. En gros : des synthés et des barres de fer.

« Working Class Woman », sortie le 5 octobre chez Ninja Tune.

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