Pourquoi le vinyle de votre groupe préféré est-il devenu un produit de luxe ? Combien reste-t-il dans la poche d’un disquaire après votre shopping ? Et comment faire pour résister au streaming quand on a d’énormes factures à payer ? A toutes ces questions qu’on s’est tous posés en tant que client, Toma Changeur du disquaire des Balades Sonores apporte un éclairage inédit pour celles et ceux qui trouvent que le disque ne tourne plus vraiment rond.

Pour acheter des disques chez Balades Sonores 364 jours par an, et pas seulement pour le Disquaire Day, c’est chez Balades Sonores à Paris et chez tous les bons disquaires de proximité.

16 commentaires

  1. j’ai vu l’evolution du dur chef de boutik & sa dame de fer, pas aimables a la ramasse sur beaucoup! j »y vais plus avec leur stagiaires qui se precipitent sur cogs….

  2. hé l’étudiant, c toi qui rouvre un choppe de disques a perpygnan ? en septembre tu leur mets la honte/haine

  3. Esther et Thomas depuis au moins depuis ont fait un travail colossal ,par contre leur soucis récurrent c’est la gestion stock qui a toujours était cahotique ,trop stock et du mal a retrouver les disques , beaucoup réf sous égaré quelques part dans leur stock immense ,je suis pas certain que Thomas parviendra a résoudre le problème car il y toujours eu tendance a beaucoup s’éparpiller et cela s’avère au final contre productif, autre soucis récurrent ,ses collaborateurs ,il y a eu autour de lui une cohorte de stagiaire interchangeables sans véritable culture musicale ni de compétences dans la gestion des stocks ,ils ont accentuer le bordel et les erreurs de stock etc , disquaire c’est un métier exigeant et qui ne s’improvise pas, et j’en sais quelque chose je fut disquaire de 1988 a 2004:, j’ai l’expérience des grandes structures comme la Fnac et consorts mais aussi disquaire indépendant puisque dans les 90 j’ai eu deux shop en Alsace

  4. Esther et Thomas depuis 2012 au moins ILS ont fait un travail colossal ,par contre leur soucis récurrent c’est la gestion stock qui a toujours était chaotique ,trop stock et du mal a retrouver les disques , beaucoup réf sont égaré quelques part dans leur stock immense ,je suis pas certain que Thomas parviendra a résoudre le problème car il y toujours eu tendance a beaucoup s’éparpiller et cela s’avère au final contre productif, (il faut qu’il mette la pedale douce sur son coté control freak ) autre soucis récurrent ,ses collaborateurs ,il y a eu autour de lui une cohorte de stagiaire interchangeables sans véritable culture musicale ni de compétences dans la gestion des stocks ,ils ont accentuer le bordel et les erreurs de stock etc , disquaire c’est un métier exigeant et qui ne s’improvise pas, et j’en sais quelque chose je fut disquaire de 1988 a 2004:, j’ai l’expérience des grandes structures comme la Fnac et consorts mais aussi disquaire indépendant puisque dans les 90 j’ai eu deux shop en Alsace .thomas a pris conscience qu’il ne peux plus etre au four et au moulin il doit etre plus présent au quotidien dans la boutique au contact des clients , il faut qu’il sache exactement ce qu’il a dans les bacs ,ce n’est pas toujours le cas ,la derniere fois que je suis venu je lui est parlé de ce disque ,il ne voyait pas ce que c’etais alors qu’il etais present sur son site en vente ,pour moi une des bases du métier de disquaire c’est de visualisé tous les disques que l’on as en vente , a chaque que je passe voir thomas il a l’air toujours débordé et presque au bord d’un burn out ,https://markvanhoen.bandcamp.com/album/plan-for-a-miracle-2

  5. j’ai chopé un disque indé d’un groop de bristol (pas encore sorti dan sles bacs) je l’ai payé sur Paris 16 balles, pas ches les prolos ou hypsters a la p’tit semaine.

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