« Bah oui mais alors pourquoi vous en parlez alors?« Très bonne question. La réponse est simple : pour faire chier tous les fans d’indie rock qui continuent de croire que 1992 fut la plus belle année des deux derniers millénaires ; et surtout parce qu’à priori on ne voit pas trop comment ce quatrième album (prévu pour le printemps prochain) pourrait rivaliser avec ce « Loveless » considéré comme un chef-d’œuvre par tous les quadras devenus depuis chef de pub dans une agence parisienne à la con (les mêmes qui portent des bouchons anti acouphènes en concert).
Au programme donc, en 2018, pour MBV : une tournée de reformation devant des gens vieux et moches et qui en plus finiront tous sourds, une augmentation non négligeable des ventes de T-Shirts customisés en taille XXL, ce nouvel album dont la presse s’emparera environ 36 heures avant de l’abandonner comme un clébard sur le bord d’autoroute et, in fine, un pack promo de nouvelles photos où l’on pourra enfin remarquer pourquoi Kevin Shit ressemble de plus en plus à Tahiti Bob des Simpson. Sur ce, on vous laisse, on a rendez-vous au club de philatélie du coin pour coller des timbres Mick Jagger dans notre classeur. Le dernier arrivé à la maison de retraite est fan de Neil Young.
Jeffrey Lee Pierce le décrirait mieux, ou même B.BOY George, quoique y’ a aussi l’autre là, dans l’ô della deja.
Vous n’avez rien compris. L’unique attrait de cette formation est la belle Bilinda Butcher, qui a contribuée à faire exploser les ventes de sopalin au Royaume-Uni de 1988 à 1992.
j 1 souvenir qu’avec Belinda pleine de champignons, l’on n’ai mis a la lourdes Blanc-Francard/Lenoir des backstages/loges de l’Olympia,
BUFFALO GRIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIILL