PRIMAVERA SOUND 2014
Porto allègre

Malin est le journaliste qui décide de couvrir deux festivals d’affilée, à la programmation similaire – sinon identique – et de livrer deux reports distincts, plutôt qu’un seul dans lequel il aborderait les deux moments. Après quatre jours de concerts à Primavera Porto, il m’est impossible de faire comme si je n’avais pas déjà vu la plupart de ces groupes la semaine précédente, à Barcelone lors du Primavera Sound.
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PRIMAVERA SOUND 2014
I love you but you’re bringing me down

2004-2014 : cette année je fêtais les 10 ans de ma première venue au festival barcelonais. En 10 ans, j’ai grandi, changé de ville, changé 10 fois de métier, changé autant de fois de partenaire amoureux… mais s’il y a quelque chose qui n’a pas changé, c’est mon éthique, et elle s’est même renforcée. Ça pourrait se résumer en un mot : l’indépendance la plus totale possible comme rempart au capitalisme, que ce soit dans mes activités économiques, sociales, culturelles ou artistiques.
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PRIMAVERA PORTO FESTIVAL
Valise en carton contre veste en cuir

En festival, je ne vois généralement que 10 % des groupes que j’ai prévu de voir, eux-mêmes représentant seulement 50 % de la programmation. Quand on fait le calcul, il ne reste plus grand chose, à part des échecs, des loupés, des ratés et de l’alcool. C’était justement le programme final de ma visite à la première édition de l’Optimus Primavera Sound (le cousin de l’édition barcelonaise) à Porto, au Portugal, un pays plus connu pour son fado que pour son rock. Et pourtant… pour la première fois de son histoire, le pays de la morue accueillait les petits poissons de la musique indé. Gonzaï y était, et vous offre un live report pas comme les autres. Tout en saudade.
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