Dans la fête foraine de Jean-Luc Navette

Ceux qui était branchés sur la fréquence tatouage au début des années 2000 ont difficilement pu passer à coté de ses travaux. Amours désenchantés, nature tourmentée, âmes en transit et freak show en noir et blanc: les histoires de Jean-Luc Navette finissent mal en général. A l’occasion de la sortie d’un nouveau bouquin et d’une exposition qui lui est consacrée à la galerie Art Factory à Paris, il ouvre les portes de sa fête foraine, territoire fragmenté ou se croisent Jean-Jacques Goldman et Damia, l’amour et la mort sur fond d’insectes momifiés et de combats de coqs sans tête.
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