DANTON EEPROM [INTERVIEW]
Mister nice guy

La culture de la sape, quand on vient de Marseille, c’est important. Ne pas chercher plus loin les raisons du nom de ce disque par celui que les initiés appellent sobrement « mister paillette ». Mais chez Danton, la doublure intérieure ne serait-elle pas plus épaisse que ne le laisse supposer l’apparente coquille vide dopée au RedBull du gars du sud-est pratiquant la house comme d’autres la pétanque ? Petite partie de boules à facettes très loin du Massilia Sound System.
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DANTON EEPROM
Sexe machin

Devant certains disques, le chroniqueur ne peut que rendre les armes. Avec « If looks could kill », nouvel album de Danton Eeprom, c’est toute l’armurerie qui dépose le bilan, et personne pour demander la moindre compensation lors de ce licenciement merveilleusement salvateur. Au menu, 10 killer tracks, et un constat après des dizaines d’écoutes, casqué comme un Président rue du cirque : ce type est un grand malade. Un perfectionniste. Et un obsédé textuel.
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TRISTESSE CONTEMPORAINE
Now futur ?

Un blaze à finir en digipack deluxe collector dans la vitrine de Colette, un son vintage à traîner ses talons aiguilles sur les podiums des fashion weeks, coké de frais, un producteur mi cool mi hype (Pilooski), des débuts prometteurs parce qu’identité sonore forte, une suite dans le fog, parce que branchitude attendant à la porte, une release party en grande pompe au Nouveau Casino à la fin du mois et une question collée au bouton loop : et si Tristesse Contemporaine, c’était juste the XX avec quelques années de plus ?
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