Après plusieurs mois d’ennuis à devoir supporter la complainte ballonnée de chanteurs sans refrains ni inspiration, deux évènements sans corrélation apparente ont la semaine dernière bousculé la conception même de la musique pop, cinquante ans après son invention. Alors qu’on pensait la ligne Maginot définitivement démontée brique par brique entre indie et mainstream, deux groupes français ont tenté, chacun à leur manière, de raviver la guerre des gangs. D’un coté, le gentil résistant supposé indépendant et de l’autre, le méchant envahisseur, casqué, comme chacun sait.