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DAUGHN GIBSON
« Me Moan »

Dans un récent papier de Libération intitulé « Le miel Gibson », l’increvable Bayon, Belphégor de la rédaction en place depuis au moins quatre générations de machines à écrire, décrivait la musique du jeune américain comme un « baryton Engelbert Humperdinck revu americana, entre Tom Jones et Richard Hawley (…) croisé de Hanni El Khatib rectifié la Redoute ». Fidèle à sa légende, Bayon continue d’écrire des papiers que personne ne comprend. Mais pire que le style ampoulé emprunté au Baron de Nucingen rectifié rock critic qui vaut à Bayon d’appeler un chat par d’autres noms, il y a une toute autre évidence : un chanteur portant le même nom qu’une marque de guitare mérite mieux qu’une comparaison avec un acteur psychotique.
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