Le chef d’oeuvre de Scorsese, sorti en 1973, est déjà paru mille fois en DVD ; on ne vous fera donc pas le coup de la surprise sortie des entrailles des archives. Bien difficile, néanmoins, de résister à l’envie de mater la réédition DVD par Carlotta, agrémentée de deux bonus d’une heure environ, pour démêler les spaghettis de ce film d’époque made in Little Italy. Ca valait bien un résumé du film par Maadiar garanti sans supplément ni coupure publicitaire.

Et pour ceux qui ne connaitraient pas l’histoire de Johnny Boy – De Niro – et Shorty – Scorsese himself – ne reste plus qu’à enfiler le costume trois pièces et les cravates en guise de noeuds coulants…

Martin Scorsese // Mean Streets // DVD Carlotta remasterisé
(Avec supplément 27 minutes « Voyage à travers Mean Street », entretien audio avec Martin Scorsese, et supplément 21 minutes « De Little Italy à Hollywood », critique du film par Kent Jones.)

23 commentaires

  1. Mean Streets, le premier film un peu perso de Scorsese ? Quatre ans avant Mean Streets, qui reste un film assez chiant et raté je trouve, en 1969, il a tourné le très moyen « Who’s That Knocking at My Door », déjà avec Harvey Keitel dans le rôle d’une petite frappe à Little Italy… avec toutes les thématiques que l’on va retrouver dans Mean Streets, notamment son rapport compliqué à la foi catholique. Tu peux pas te dire « cinéphile » si tu ne sais pas ça. 🙂

  2. Ouais, mais je m’en bats, « Who’s That Knocking at My Door » n’existe pas pour moi.

    Alors je peux pas me dire cinéphile mais je peux baiser ta mère. 🙂

  3. Désolé mec…mais « Who’s that knocking at my door » est effectivement indispensable pour comprendre « Mean Streets »…

    JB

  4. Je m’en fous de passer pour un con. « Who is machin » c’est un putain de brouillon. Y a qu’un truc sur lequel j’accepte qu’on me fache chier c’est la BO. La BO est dingue de dingue, et j’en ai pas parlé. Ca c’est moche.

  5. Oh, un simplet qui se la joue à insulter tout le monde dès qu’on lui fait remarquer qu’il s’est planté, trop gonzo-style, rock’n’roll-à-mort, quoi…

    J’espérais que la race était éteinte, étouffée dans sa propre suffisance. Dommage.

  6. Eh ben mon ptit Maadiar, on s’excite?
    Tu peux peut-être baiser sa mère, mais pas sûr qu’elle sente quelque chose. Elle serait encore pucelle que tu lui percerais même pas l’hymen.
    Faut avoir les couilles d’assumer les critiques l’eunuque!

  7. Nan mais oui, vous avez raison les kékés, je l’ai oublié « Who’s That »… Ca va, ça va, on va pas en faire un chavignol.

    J’espère, au moins, que vous l’avez vu. Parce que me ressortir Wikipedia ok, soit.

    Mais au moins allez voir Mean Streets si vous ne l’avez pas vu!

  8. La BO ?
    Le O de BO signifie Originale.
    Mean Streets n’a pas de Bande Originale, ce ne sont que des morceaux préexistants.
    Tu vas encore devoir baiser la mère de quelqu’un.

  9. Tsss…
    Si en plus on joue aux cons on en sortira jamais Jean-Pierre.

    Je cite Wikipedia, ton ami de toujours: « Bande originale: la musique qui accompagne un support filmé ».

    Voilà. Point barre. Oui, original c’est aussi: « Qui n’a pas été produit d’après un modèle » mais Jean-Philippe les mots ont plusieurs sens. Et ici, en français, BO = movie soundtrack.

    Je n’y peux rien. Va manger un peu de caca maintenant. Merci.

  10. Wah putain ça cogne dur ici ! Moi j’aime cette planche, mais je trouve surtout que Mean Street est un peu chiant, et qu’effectivement si Little Italy en est le perso principal, et ben tous les secondaires, il leur arrive pas grand chose… Heureusement je me considère pas comme cinéphile. Bonne journée de baise et de caca !

  11. Ouais enfin, tu n’expliques pas pourquoi la bande son est géniale (contrepoint à l’histoire, utiliser des tubes pour recréer une époque, ce que tout le monde fait maintenant)
    Perso, je conseillerai plutôt Goodfellas, qui est mean street avec plus d’ironie, plus de pognon, plus de scénar. Mais ça le fait pas auprès de ces puceaux de cinéphiles.

  12. Euh « toc-toc qui c’est », il est pas terrible… c’est un film de transition entre les films d’école avec message social et le déploiement des thématiques personnelles de Scorsese, avec un pied dans les deux et le cul nulle part.

    Par contre, pour trouver Mean streets chiant et raté, faut avoir un peu de la merde dans les yeux, quand même…

    Y a des temps morts, dans ce film, mais… euh… c’est fait exprès… les mecs trainent… ils vont nulle part… ils s’emmerdent…

    Alors que dans « toc-toc », c’est le spectateur qui s’emmerde, c’est pas pareil.

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