Mylène Farmer, 57 ans, toujours catin
A l’heure où les monstres sacrés se font la malle vers l’infini et l’au-delà, je tiens à en garder une sous la main. S’il ne doit en rester qu’une, je prendrais Mylène pour mes vieux jours. Je serais son Michel Onfray du vice, le maître de sa « dé-zob-eissance ».