Mort Garson, même pas mort
Connu du « grand public » comme l’architecte derrière « Plantasia », chef d’œuvre de 1976 considéré comme l’un des premiers albums écologiques porté par mélodies bien plus naïves qu’un discours de Nicolas Hulot, Mort Garson a fini par manger les racines. C’était en 2008. Mais c’était sans compter sur sa fille, Day, à l’origine d’une vague de rééditions chez Sacred Bones d’une partie du catalogue de cet obsédé des Moog, trop longtemps resté coincé du mauvais côté du rideau.