On t’aime bien Gaspar Claus, et on comprend presque tout ce que tu fais
En titrant en 2018 « Gaspar Claus on t’aime bien, mais on comprend rien à ce que tu fais » pour un portrait qui lui était consacré, Télérama mettait le doigt sur une vérité obscure : depuis la fin des années 2000, on a tous entendu parler de ce violoncelliste souhaitant casser les chapelles avec son gros instrument, mais quant à savoir pour quel album c’était, et avec qui, c’est une autre paire de coton-tige. Trois ans plus tard, le taiseux sort enfin de l’ombre avec son premier « vrai » album solo, « Tancade » ; soit 11 titres insulaires qui mettent enfin les points sur les îles.