TURBONEGRO
1989-2010: It’s good to be dead
Avec l’annonce du départ de Hank, Turbonegro met un point final à son odyssée foireuse, à peine digne du premier jet du script de Spinal Tap : signés sur plus de labels qu’ils n’ont enregistrés d’albums, autant de line-up que la IVème République a compté de gouvernements, le groupe reste malgré tout l’inventeur d’un style musical dont ils resteront les seuls tenanciers (le Deathpunk),