Dans la chapelle du souffle chaud, rares sont ceux à pouvoir assurer la comparaison avec The Voice. Lou Rawls, en dépit d’un physique de pimp taillé pour les trottoirs de Brooklyn, fut
« Marcher grand [1] ». C’est le nom de l’une des chansons composées tardivement par le géant américain, mais aussi paradoxal que cela soit, ce fut aussi dès le début la devise de Julian Adderley,
La postérité est parfois semblable à la plus banale des remises de prix, on passe sa vie à attendre en coulisses en espérant entendre son nom au micro, on répète à voix