A la recherche d’Ame Son
Fin des années 60, dans la France de l’après Général de Gaulle, une poignée de groupes français tentent de rivaliser avec les Pink Floyd, Soft Machine et autre Gong. Parmi eux, Patrick Vian, Dashiell Hedayat (avec Gong, justement), Alain Kan et peut-être le grand oublié de la scène, Ame Son, auteur d’un premier et dernier album qui aurait pourtant parfaitement pu rythmer la bande son d’un film de Jean Yanne. Cinquante ans après, son leader fondateur Marc Blanc frappe à la porte pour nous faire entrer dans cette « catalyse » vieille de 50 ans déjà.