À Marseille, on danse joue contre joue sur de la synthé pop aquatique. Tout du moins, c’est ce qu’aimerait bien croire Antonin Appaix. Après avoir tourné dans bon nombres de groupes garage – Les Jolis, Jeanne & Olivier – il se lance maintenant en solo avec ses machines.
Les copains Mathis Potel et Maxime Morel de la Secte du Futur sont venus donner un coup de main pour l’arrangement et l’enregistrement de ces chansons parlant d’amour sous-marins. Si certains synthés peuvent faire penser à Éric Serra – plus période Subway que Le Grand Bleu – l’honnêteté des textes et de la démarche est assez touchante et mystérieuse pour se repasser la chanson en boucle. Tout cela sent bon la farniente à Marseille, où « faire du scooter pété, trainasser au Panier, danser sur les rochers et mentir à ma mère” ressemble au paradis pour laisser sa jeunesse filer.
8 commentaires
Herpés compris ?
<3 <3 <3!!!!
Mon cher Bester ,tu les recrute chez tati ou au prisunic tes scribouillards de pigiste ,en plus d’ecrire à la truelle leur diarrhée verbale ,ils se payent en plus le luxe d’avoir des gouts de chiottes.C’est pas possible Gonzai veux ma mort ou quoi?la musique d’antonin machin rayent mes tympans
Et toi ton niveau d’orthographe raye mes yeux
seb l’aveugle j’espère bien
tu chatte, ou, tu tchatche!?
j’ai l’impression de voir un mec castré qui exhibe son scrotum vide de testicules
Bravo pour ce morceau!
c’est très délicat, très sensible.
Les arrangements sont bien faits également.
C’est un très bon renouveau musical,
continuez Mr Appaix!!!!
amicalement,
Serge C.