Il n’y a pas que des mauvaises nouvelles qui viennent du Grand Est. La preuve aujourd’hui avec le retour de notre groupe biélorusse favori : Super Besse ; ou Super Démons dans la langue
Première moitié des années 2000. Une poignée de garçons occidentaux certainement un peu plus tristes que les autres ravive la flamme populaire du post punk, et avec elle son cortège de nappes