DANTON EEPROM
Sexe machin
Devant certains disques, le chroniqueur ne peut que rendre les armes. Avec « If looks could kill », nouvel album de Danton Eeprom, c’est toute l’armurerie qui dépose le bilan, et personne pour demander la moindre compensation lors de ce licenciement merveilleusement salvateur. Au menu, 10 killer tracks, et un constat après des dizaines d’écoutes, casqué comme un Président rue du cirque : ce type est un grand malade. Un perfectionniste. Et un obsédé textuel.