Les morceaux annonciateurs de la fin de la grosse teuf électronique qui dure depuis plus de trente ans continuent de pleuvoir. Après La Fête de Trop du « néo Jaques Brel » et La Fête est Finie du génie ultime du white-middle-class rap Orelsan, faites un maximum’ de bruit pour Frank Rabeyrolles et son A Ghost By The Sea dont les notes de synthétiseurs pourtant magiques ne pollueront (malheureusement) pas les fréquences hertziennes durant cinq ans.