Si vous pensiez avoir définitivement dit au revoir à l’été, ce cher Bertrand est là pour vous y replonger. Sur des sonorités classiques, jazzy (on sait qu’il détestera ce mot) et funk (idem), le voyage commence le long des berges, bercé par sa voix suave, pour observer l’Homme vivre, apprécier le calme et la volupté des débuts de soirée d’été. C’est chaud, c’est doux et il y a cette idée d’opposition entre les générations. Pas d’arrêt pour lui, le temps passe mais ne s’arrête pas. À noter que son son dernier album « Les choses qu’on ne peut dire à personne » concourt actuellement pour le titre du nom d’album le plus long de l’année, et que si ce n’est pas déjà fait, on vous recommande d’en acheter dix exemplaires pour offrir à toute votre famille pour Noël.
Bertrand Burgalat // Les choses que l’on ne peut dire à personne // Tricatel
2 commentaires
PAPA OU_T ?
ici c’est le Der Kömmissair ?