Pour la première fois depuis la création du Hellfest, la ministre de la Culture s’est déplacé jusqu’à Clisson. Comme on voyait parfois arriver un prêtre aux petites heures de l’aube dans la maison où depuis de longues heures un malade ou un vieillard se bat avec la mort, on peut soupçonner que la présence d’une huile officielle relève ici aussi de l’extrême onction. Car derrière la cathédrale en toc qui marque l’entrée du lieu, la mort plane, une mort complexe et métaphysique, plus vicieuse que celle de la riche iconographie du metal (en vrac les zombies, les crânes, les pluies de sang et les cadavres qui grimacent sur les tee-shirt et les tatouages des festivalier.es). Bien sûr, comme tout individu cultivé, on se souvient des paroles d’Ace of Spades.

You know I’m born to lose, and gambling’s for fools
But that’s the way I like it I don’t wanna live for ever…

Pendant une décennie, parce que son organisme semblait défier les lois de médecine et de la distillation, Lemmy ajoutait, avec la réserve et l’élégance qui le caractérise: “Apparently I am”. En apparence seulement, puisque s’il a longtemps survécu à un lifestyle inhumain, l’apparemment immortel leader de Motörhead a bien fini par passer l’arme à gauche.

Ce n’est pas rien que la mort de Lemmy. Son ombre s’étend sur le Hellfest où sa statue domine le site, et je me suis aperçu que c’était la première fois que je me trouvais face à une statue en ayant connu le modèle vivant, un sentiment étrange, profondément mélancolique. Mais il n’y a pas que la statue qui marque cet étrange deuil collectif. C’est Phil Campbell qui ouvre le festival et ce sont les membres du premier fan-club américain de Motörhead qui en assure la clôture. Slash, parmi tant d’autres, porte un blason Kilmister sur sa veste, Ugly Kid Joe reprend Ace of Spades et le logo aux défenses d’acier, les Australiens d’Airbourne se fendent d’un discours à la mémoire du grand homme. Le Hellfest entier semble une grande messe du souvenir.

L’autre problème du metal, c’est bien le public qui vient lui aussi pour se faire croire qu’il n’a pas vieilli et pour écouter Nothing Else Matters comme s’il allait encore emballer la jolie Cécile de seconde B derrière le gymnase,

Mais si Lemmy est mort comme il a vécu, droit dans ses bottes, on ne peut en dire autant de ceux qu’il a laissé derrière lui. Parce qu’il faut bien le dire, le metal est désormais un champ de ruine, Slayer et Black Sabbath goutent une retraite méritée, AC/DC, on l’espère ne s’infligera pas un énième album de trop. La date de péremption semble aussi largement dépassée pour la plupart des groupes qui font l’affiche du Hellfest, des seniors auxquels manquent souvent l’envie ou la force de prétendre qu’ils ont trente ans de moins. La situation est pour le moins perverse. Si quelqu’un comme Alice Cooper arrive à jouer sur le grotesque de la situation, la plupart des autres semblent ne pas échapper à la condamnation de répéter les mêmes riffs, de plus en plus mal, de moins en moins vite, en essayant de détourner l’attention du public avec des murs d’écrans où s’étalent des animations 3D dont la médiocrité technique égale à peine le kitsch terminal et la profonde ringardise. Pour la majorité des groupes, il est trop tard pour se réinventer et s’ils l’avaient voulu, le public le refuserait probablement. Car l’autre problème du metal et conséquemment du Hellfest, c’est bien le public qui vient lui aussi pour se faire croire qu’il n’a pas vieilli, pour écouter Nothing Else Matters comme s’il allait encore emballer la jolie Cécile de seconde B derrière le gymnase, quelque part au début des années 90. La mort, disait Lacan, est du domaine de la foi. Avant d’ajouter: “Si vous n’y croyiez pas, est-ce que vous pourriez supporter la vie que vous avez ?” Et c’est cette foi qui semble avoir déserté les allées du festival, pour être remplacée par des baraques à frites aux noms rigolos et des stand de merchandising.

À ne pas digérer la mort, on finit par se survivre et assister à son propre enterrement, mais après ? Même si les festivaliers font encore semblant que ça marche, est-ce que l’on peut échapper à la mort qui rode ? Entre les pandémies et le réchauffement climatique, les organisateurs devraient s’inquiéter de l’avenir. Bien sûr il y a Gojira, mais comme Noir Désir à l’époque, ce n’est pas tant l’arbre qui cache la forêt que l’arbre qui masque l’absence de forêt. À part Rammstein peut-être, qui n’est non plus de première jeunesse, il faut bien reconnaître que stadium rock est en train de s’approcher sûrement de la formule “Age tendre et tête de bois”. En dehors des vieux éléphants, on ne trouve pratiquement plus que du menu fretins. Des groupes potaches plus ou moins punks qui prouvent surtout que le post-modernisme et le second degré ne valent pas grand chose dans le rock. Des groupes d’inspiration vaguement nordique avec des vikings que l’on peut classer en deux catégories; les barbus à kilt et les rouquines en bustier, des groupes généralement audibles uniquement par des fans d’Harry Potter, ou par leurs parents fans du Seigneur des Anneaux, ou leurs grands-parents fans de Star Wars.

Avec son organisation parfaitement huilée et son statut d’institution, le Hellfest est devenu une sorte de parc d’attraction, ce qu’il ne s’est d’ailleurs jamais caché d’être. Le problème est sans doute qu’il n’est désormais plus que ça. Pendant que les rockers des décennies passées allaient de cures de désintoxication en opérations de la hanche, le fan de metal a lui aussi pris cher. Il a trouvé un travail, acheté un pavillon, il s’est embourgeoisé, malgré ses tatouages et il est passé lentement mais surement de la position du punk anarchiste à celle du réac de classe moyenne. Il a oublié ce qui l’avait poussé à écrire AC/DC au Tippex sur sa trousse, il a oublié les riffs qui venaient fouiller dans le vif de son âme torturé, la transe impie où le plongeait le grondement sourd d’une batterie à double-pédale. Il ne lui reste qu’un vieux fond nostalgique de son adolescence et un amour immodéré pour la bière. Il a oublie que tout cela a eu un jour pour lui un sens, que tout cela a un jour été le diapason d’une existence avant d’être ravalé au rang de simple divertissement, il répond désormais au rock comme l’étudiant en école de commerce répond aux Lacs du Connemara.

Désormais, tel le dentiste qui roule en Harley, le public du metal ne s’attache plus qu’aux signes et aux goodies, il achète son tee-shirt Hellfest comme n’importe quel abruti à Disneyland

Le rock appartient désormais à la culture mainstream, en témoigne l’enterrement de Johnny digne de celui de Victor Hugo, dont le corps néanmoins n’avait pas été envoyé à Saint-Barth pour y blanchir au soleil. Désormais, tel le dentiste qui roule en Harley, le public du metal ne s’attache plus qu’aux signes et aux goodies, il achète son tee-shirt Hellfest comme n’importe quel abruti à Disneyland. Il se comporte d’ailleurs de la même manière, comme un vieux conservateur de droite, il picole en fumant sa cigarette électronique goût papaye, il râle quand quelqu’un lui bouche la vue alors qu’il attend depuis deux heures sur son petit pliant, comme pour la sortie du nouvel iPhone, il frappe ceux qui slamment en leur criant de dégager parce qu’il veut voir le spectacle. Même avec le public de Metallica, on touche aux tréfonds de la médiocrité humaine. Non le rock n’est pas mort, mais c’est peut-être pire, il est devenu un loisir.

31 commentaires

  1. Tu as bien raison William, je suis tout à fait en accord avec toi.
    Aussi, je t’invite à ne plus t’infliger ces sévices, ton constat est fait, tes certitudes sont mesurées, ta connaissance est pleine, ton dogme est accommodé.
    Ne t’aventures plus en régions, c’est trop déprimant pour ta plume. Demeure à Paris, laisse nous tranquille.
    D’avance merci.

    1. eXcellent article!
      et comme le dirait Valérie, Merci pour ce moment!
      Ce qu’il manque au HELLO Fest c’est une scène Indus!!
      Ssuis certain que le bosS d’UPR, fin connaisseur de cette scène sSerait ZE programmateur qui ferait l’affiche qui arrache tout!!

  2. Je ne m’y rends plus car je trouve qu’il y’a trop de monde à mon goût . Mais tout de même , ce report ne vous honore pas , il y’a plusieurs courants musicaux représentés et publics absolument mal identifiés .
    A regarder en surface tous les grands festivals Européens ne sont que du loisir et pour la profondeur vous n’êtes pas vraiment un journaliste .

  3. On dirait un vieille article de Rock’n Folk ,Télérama ou des Inrocks du 20 ème siècle ( on retrouve ces magazines dans les vides greniers), même ton hautain et méprisant, un style pompeux pour cracher sur un genre musical qu’on déteste… ne t’infliges plus la torture de te faire inviter gratis dans des endroits avec des gens que tu méprises reste dans ta zone de confort à sucer les rappeurs que tu dois mépriser sans oser le dire et à écouter Placebo, Wet Leg et de la bonne pop LGBTQA2 (on dit comme ça maintenant).

  4. Complètement d’accord avec vous. Combien de festivals ne sont plus que des « places to be » visitées par des publics sans curiosité (ni goût ?)…
    Bien que le côté divertissant d’un festival soit à prendre en compte, il ne faut pas oublier que c’est la qualité de la programmation qui devrait primer. Malheureusement ce n’est visiblement pas le cas, ni pour les programmateurs, ni pour de nombreux festivaliers.
    Merci pour cet article qui met les points sur les ‘i’.

  5. Hahaha mais quelle blague cet article ! on sent le (jeune ?) « auteur »parisien désabusé de tout, crachant sur le « marketing généralisé… même au jusqu’au metal » alors qu’il écrit lui-même dans un site web puant le marketing « cool » pour accrocher les hipsters qui se complaisent dans le « tout est mort, plus rien ne vaut le coup, j’ai tout compris pas vous ». Eh ! gros blaireau (oui je me permets car tu en es un, indubitablement), les quelques groupes dont tu parles ont plus de 40 ans de carrière, ce sont aussi des têtes de gondoles. Sur un festival qui a affiché cette année plus de 350 groupes, si tu n’as pas remarqué qu’un (très) bon paquet d’entre eux ont moins de 10 ans d’existence et que oui il y a du nouveau, notamment dans le metal extrême que visiblement tu ne goûtes pas, c’est que tu ne connais absolument rien sur ce sujet (et donc que ton article est pour le moins illégitime). Le Hellfest est complémentaire des concerts en salle, voire en squat (pour le grind ou le HxC), mais ce n’est absolument pas le même esprit, c’est plus fun, plus loisir en effet, plus gros. En fait c’est le principe même d’un festival de musique, t’es au courant ? Et pour toutes ces raisons oui ça génère du pognon, pour son organisation et logiquement pour ses visiteurs. Ensuite, « l’embourgeoisement » que tu conspues, il semblerait que ce soit un paramètre assez inévitable pour tout être humain qui avance dans l’âge, même toi tu ne devrais pas en être épargné avec le temps, et si tu dis le contraire c’est que tu es simplement le plus gros des faux-culs (déjà rien qu’à écrire dans ce site web « culturel » c’est de l’embourgeoisement par bien-pensance intellectuelle au vue de sa ligne éditoriale). Bref redescends un peu, tu n’as ni la plume d’un Hunter S. Thomspon ou d’un Lester Bangs, le seul argument qui transparait dans ton article c’est « j’ai tout compris mais vous, vous êtes tous à côté de la plaque » donc fait preuve d’un peu d’humilité, parce qu’à part te cacher derrière l’auto-satisfaction que te donnes à écrire des éditos (en plaçant Lacan, ben oui c’est impératif et surtout ça « donne de la crédibilitééééééé ») on se demande bien ce qu’il y a d’autre. Le metal un champ de ruine ? T’y connais vraiment que dalle.

    1. Ouiii justement le petit bourgeois qui sommeille en chacun d’entre nous et qui se réveille dès que l’on bouscule ses misérables certitudes.
      Au delà de la collection de poncifs de certains commentaires il y a cette faculté à oublier le sujet de l’article à savoir qui sont les plus aptent à la parodie et au folklore qui entoure la musique « métal » le public ou les groupes ?

    1. Article amusant sur bien des points mais qui néanmoins laisse transparaître de manière trop évidente l’ignorance dont fait preuve l’auteur sur son sujet.

      Dommage, le ton est divertissant.
      En revanche le fond lui est inexistant, dû à un manque flagrant d’ouverture d’esprit de la part de « William Burren » qui ne semble jurer que par les vieux groupes grand public en fin de vie (et parvient en même temps à se lamenter du déclin inhérent au vieillissement de ceux-ci) mettant donc, de fait, à la marge la grosse majorité de la programmation du festival concerné par l’article.

      C’est précisément ce qui est problématique concernant la lisibilité du texte compte tenu du fait que le Hellfest est très large en terme de genres/publics représentés mais aussi en terme d’importance des groupes (+ de petits que de gros présents au sein du festival qui nous intéresse ici).

      Une méconnaissance malheureusement en surbrillance au fil de la lecture qui tends à discréditer l’ensemble du propos de son auteur (déjà douteux par endroit).

      À côté pour cette fois donc mais gageons que William saura, d’une part gagner en humilité et d’autre part perfectionner ses connaissances en la matière afin de fournir à l’avenir un papier auquel il sera plus aisé d’accorder du crédit.

      Néanmoins et pour finir sur une note positive, il reste que certaines descriptions des publics sont assez juste et prêtent parfois à sourire!

  6. Moi je pense que la jolie Cécile de seconde B elle t a planté derrière le gymnase pour rejoindre le mec à cheveux longs et en cuir noir qui sifflote paranoid… grand bien lui en a pris… elle a évité de fréquenter le prêcheur de l ennui et l apôtre de la sieste…. L année prochaine va plutôt à La Rochelle, tu y seras plus à l aise…

  7. Bah… Quand on a un nom de colonne, on réfléchit comme une colonne, et ce n’est pas un prénom anglophone qui va aide a la réflexion…. Kevin ou Jordan aurait fait l’affaire.

  8. Le secret pour vivre pleinement sa life c’est de la mettre en danger ; quand tu deviens sage tu es mort. Je me répète ça tous les jours mais à la longue c’est fatiguant.

  9. Il a confondu hard rock et métal ?!?!?!, le monsieur
    Et encore il a pas dû entendu airbourne
    Affligeant une telle vacuité et méconnaissance de son sujet

  10. Personnellement du haut de mes 60 années, je navigue toujours entre Altar et Temple… Et la, il y a plein de groupes jeunes et moins jeunes à découvrir …. Les Mainstages, c’est juste l’histoire du Métal. J’ai vu Metallica plusieurs fois en 1984 et la j’ai préféré voir Carcass et Triptykon plutôt que d’entendre le black album qui sonnait la fin du groupe il y a plus de trente ans. Bref je ne suis pas un mouton …

    1. Trop fort! Je n’ai pas 60 ans, mais j’ai le même sentiment. J’ai commencé le métal par le trash, et bien sûr Metallica.
      exit Kill’em All trop punk pour moi. Après, c’est monté crescendo: Ride the lightning, puis un magistral Master of Puppets et un trop méconnu And Justice for All,…et puis, et puis plus rien pour moi, ce Black Album, pareil que toi, çà a sonné la fin. Et j’ai fait la même que toi au Hellfest, nous n’étions pas nombreux pour Carcass, j’en étais même désolé pour eux.
      Et sinon, tout pareil, sans doute plus Altar pour moi…sans m’interdire d’aller voir ailleurs. Bisous copain.

      Concernant l’article, j’ai l’habitude de dire que quand on ne sait pas de quoi on parle, on ferme sa g…
      Ce n’est pas en faisant de grandes phrases que l’on masque le vide.
      Je me demande encore pourquoi j’ai tout lu, sans intérêt.

  11. Beaucoup de peine pour toi au regard de ta frustration. T’as jamais pu embrasser Cécile? N’en veux pas à la terre entière. Arrêtez avec vos jugements à la con que ce soit sur tout type de musique Rock, Reggae, Rap…. Ça t’a plaît t’y va t’y reste, ça te plaît pas tu te casse et ne reviens pas. Vis ta vie au lieu de scruter et tenter d’analyser celle des autres.

  12. eXcellent article!
    et comme le dirait Valérie, Merci pour ce moment!
    Ce qu’il manque au HELL Fest c’est une scène Indus!!
    Ssuis certain que le bosS d’UPR, fin connaisseur de cette scène sSerait ZE programmateur qui ferait l’affiche qui arrache tout!!

  13. Bon article qui secoue le cocotier !!
    N’en déplaise à ceux qui n’y voit que de la « haine » là où on ne peut que constater que le Hellfest n’est qu’un festival cosplay de plus, où la panoplie à pris le dessus sur l’esprit métal.
    Effectivement qui peut se la péter en Harley Davison sinon les dentistes et les architectes?
    Le métal est devenu inoffensif et le Hellfest l’a rendu domestique et fréquentable.
    Dommage

  14. Hellfest, le club Med du rock, zéro frisson, des bourges et des étudiants cherchent satan à la campagne et s’extasient devant des vieux ricains flingués venus se payer une année de calvaire supplémentaire. Le rock vous chie dans la bouche en se marrant sur vos vies d’esclaves en vacances à ploucville, il ne compte pas sur vos euros de collabos, il n’a plus ni guitare ni batterie mais des toxiques et des bastos pour vos gosses.

  15. J’ai plus de 60 ans, et oui! Et j’ai découvert Behemoth il y a quelques années sur la scène principale ainsi, par exemple, que Heilung sous Altar ou Temple. J’ai été enchanté! Quelle vivacité musicale, quelle énergie. J’ai apprécié Ghost. Bref entre 2014, 2016 et 2018 j’ai pris du plaisir à participer et découvrir tant de groupes, y compris dans la War Zone. Nous vivons dans une société d’aigris. Les occasions de profiter de la vie ne sont pas si nombreuses. Et le Hell Fest en est une!

  16. Je suis bien désolé d’apprendre que pour vous le métal devrait être plus que du divertissement. La musique c’est du divertissement et si parfois des groupes ont des paroles engagées qui nous émeuvent, d’autres auront des mélodies qui nous font planer sans pour autant devoir y chercher une appartenance à quelque chose.

    Le Hellfest est un festival comme il en existe d’autre et si je suis d’accord avec le fait qu’il y a un peu beaucoup de « vieux » groupes ces temps-ci sur les festivals métal, je ne vais certainement pas bouder mon plaisir quand LA chanson hyper connue d’un groupe hyper connue fait vibrer tous les gens autour de moi sans exception.

    Si votre but est de toujours rester à contre-courant, pouvoir être en opposition, il est normal de ne pas suivre ce qui est mainstream et désolé pour vous que le métal soit aujourd’hui un peu mainstream. Vous pourriez peut-être essayer un festival hard-core ou …

  17. Dégoûté de la vie, peut-être, William, pour écrire un article aussi méprisant ?
    Je suis boomer, fan de hard et de metal depuis toujours et j’assume.
    Certains peuvent surfer sur la nostalgie des chansons populaires des 60s ou 80s et nous n’en aurions pas le droit ?
    La musique, c’est ma raison de vivre, mon énergie, ma bouffée d’air, mon anti-dépresseur et ma came naturels.
    Les morceaux ravivent des souvenirs : on vibre, on chante, on danse, on rit, on pleure. La musique c’est de l’émotion à l’état brut pour celles et ceux, sensibles humains, qui savent la ressentir.
    Visiblement, ce n’est pas votre cas, William, changez donc de sujet !

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