Depuis 20 ans, chacun de ses documentaires permet de faire le lien entre des pans méconnus de la musique contemporaine : les musiciens minimalistes (La Monte Young, Glass, Reich, Riley), les pionniers de la techno à Detroit (Jeff Mills, Carl Craig) ou plus récemment les musiciennes arabes (avec Bad Girls), elle les a tous filmé avec amour et passion. C’est cette histoire, à la fois artisanale et militante, que nous raconte aujourd’hui elle qui est tombée dans la contre-culture quand elle était petite. Et depuis sa rencontre avec le free jazz et Daniel Caux à la fin des années 60, cette pile électrique n’a plus besoin de potion magique.

A noter : vous pouvez contribuer au finanement de Bad Girls, le nouveau et passionnant documentaire de Caux consacrée aux musiciennes arabes du 8ième siècle à nos jours, via la page de crowdfunding sur KissKissBankBank. Le trailer est à découvrir ci-dessous, et plus que jamais, la musique, c’est politique.

Interview : Bester
Réalisation et montage : Karine Grouhel
Cadre : Margaux Deslandes

 

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