Tu ne connais rien à la techno ? Tu veux qu'on te laisse tranquille pour écouter tes vieux disques du Velvet Underground? Ok. Mais sache que dehors les jeunes t'attendent pour la révolution et qu'ils sont chauds : Red Axes, Mike Theis, Slow Porn, La Mverte... Ces mecs sont armés de barres de fer et veulent en découdre avec la terre entière.

Alain Chamfort – Bon Baiser d’ici (Cardini & Shaw Remix)

Et oui, encore lui. Alain Chamfort est fascinant car c’est un bon prisme pour étudier la variété française. Partant des scopitone yéyés en noir et blanc, il s’est mué en héros disco protégé par Claude François. Puis c’est un détour par la new-wave-Mourousi et l’étape obligée du trip-hop made in France du début des années 1990. On lui doit aussi des disques dingues de proto-disco grandi-loquant pas si éloignés que ça de Black Devil Disco Club, sous le nom de Araxis Spaceship (1978). Anyway, voici maintenant le fameux album ‘Alain Chamfort Revisited’. En général les albums de remix sont des pièges à cons, conçus à l’aide d’une poignée de billets pour rajeunir l’image de l’artiste original. Mais ici, c’est fait avec amour, voyez-vous. Ils sont tous là : Chloé, Smagghe, Pilooski. J’ai choisi le remix de Bon Baiser D’Ici signé Jennifer Cardini & David Shaw. L’original, paru sur le disque « Secrets Glacés » en 83, est assez dingue car il est co-écrit par les mecs de Chagrin D’Amour, ce qui lui donne ce coté funk-mocassins français maladroit et touchant. Les paroles sont très parano-guerre froide (« bon baiser d’ici/Soviétique érotique ») et la relecture 2016 est purement glaçante et classieuse.

Mike Theis – We Have To Talk (MF Edit)

J’emmerde les rockers. Vous pensez que ça m’amuse ? Je vois bien que j’écris pour un site de fan de rock à bière. On est là entre deux articles sur les Stones et Bowie. Merde, moi aussi je voudrais écrire en anglais dans Purple Fashion Magazine. Ou Interviewer des tops model ukrainiennes qui posent les seins à l’air pour Lui avec moult éclats de rire tout en tapant dans le dos de Fréderic Beigbeder. Je rêve de prendre le RER B avec un sac à main pour homme signé Balmain avant de filer au Baron pour boire du champagne en compagnie d’Olivier Zham. Mais j’ai choisi de dire NON. Et ce punk de Mike Theis ne me contredira pas. Lui aussi, il est sans concession. Il refuse chaque année de mixer pour la fashion week de Givenchy ou encore de remixer l’album « house » d’Amanda Lear. Il dit NON. Et ce morceau en est la preuve : EBM viril, trance belge foutraque et drogue aciiiiid. Mais viendra un jour, où le monde se mettra à genou devant lui comme une pute de High Street aux lèvres douces.

Thomass Jackson – Think About C

Vous avez lu ce bouquin de Dennis Cooper, God Jr? Dans ce livre, un père qui a perdu son fils fait semblant d’être handicapé et se bourre de tranquillisants et d’herbe en rejouant inlassablement à une partie de jeu vidéo que son fils a laissé en sauvegarde avant de mourir. C’est le seul lien qui le lie à son fils. A force de jouer, complètement défoncé, à ce jeu débile, il entame des conversations avec les personnages en arrière plan du tableau du jeu. Il s’agit ici d’écureuils pixelisés et d’oursons vêtus de t-shirts. L’auteur américain arrive à formaliser des discussions entre un père de famille stoned et des personnages de jeux vidéo. Dennis Cooper ne nomme jamais le jeu vidéo, et il est fort probable qu’il l’ait inventé. Toutefois, à force de recherche, j’ai trouvé les jeux vidéos qui ont inspiré God Jr. Dans une interview l’auteur cite en référence les jeux de plateforme Banjo-Kazzoie (un genre de sous Donkey Kong avec un ours et un perroquet qui joue du banjo) sortie sur Nintendo 64 en 1998. Et il cite aussi Conker’s Bad Fur Day toujours sur N64 (une version ratée de Crash Bandicoot). Bref, si vous ne voyez pas où je veux en venir, sachez que Thomass Jacskon, lui, a signé des pures tracks de toxicomane coincé dans un jeu vidéo d’occasion. Vous savez, ces consoles qui marchaient avec des cartouches sur lesquelles on soufflait avant de les introduire. C’est signé chez les marseillais de La Dame Noir : c’est donc noir comme l’encre du diable ou comme le cuir qui luit sous la lumière scintillante d’un candélabre d’argent.

Yosoy – Soldier (Slow Porn Version)

Du cul, maintenant. Mais attention : du cul qui brille, du cul avec des traces de coke et de salive. Slow Porn, le duo de new-wave au ralenti, composé d’un marseillais du gang La Dame Noir (encore) et d’un parisien nous livre ce bouillonnant maxi. Tout ça me fait penser à ce bon vieux film X : New Wave Hookers. Véritable pierre angulaire de la philosophie video-punk 80’s, dans ce qu’il y a de plus subversif, beau et avant-gardiste à la fois. Dans ce film de 1985, nous pénétrons dans la psyché inavouable de deux branleurs punk en perfecto et walkman: une Tracy Lord (encore mineure) déguisée en diablesse de latex rouge, une roller-girl en spandex fluo, etc. Le tout enrobé d’une musique synth-FM criarde et des dialogues récités sous l’influence de psychotropes. Oui, Slow Porn est l’habillage ultime de cet édifice en VHS maitrisé de bout en bout par les réalisateurs Dark Brothers. C’est New Wave Hookers sous ecstasy. Leur vision moite, leur rêve humide. Définitivement, les mecs de Slow Porn tapent très lentement et te la mettent profond. Encore et encore.

Nova Materia – Arapece En Suenos

Vous avez remarqué l’évolution esthétique du groupe Coldplay ? Je veux dire, leur fringues ? Avant, le chanteur millionnaire portait des bracelets brésiliens merdiques pour protester contre toutes les injustices du monde. Maintenant, lui et son groupe ont opté pour un style multicolore complémentent débile. Ils mélangent Jackson Pollock à une pop dégueulasse qui doit autant à la stadium-trance de DJ Tiesto que Muse. On pourrait qualifier leur look de Mad Max du bonheur : de purs guerriers en total look Desigual dont le starets se nommerait Laurent Voulzy (« changer le monde/changer les choses/ avec un bouquet de roses»). C’est fascinant, ils incarnent carrément une version scientologue gay de U2. Le label parisien Kill The DJ, lui, nous sort ce groupe obscur : Nova Materia. C’est évidement post-punk avec option « J’aime les Sisters Of Mercy ». Mais quand ce superlatif est usité à outrance, il prend ici tout son sens : une vibe indie timide, un chant murmuré, des bruits de casserole métallique, un squelette de basse pantelant. Pour les fans de The Eyes In The Heat, Video Boys ou Fad Gadget. Le rapport avec Coldplay ? Absolument aucun, c’était juste une accroche.

La Mverte & Alejandro Paz – Show Me The Law

Pourquoi cette fascination pour l’esthétique gay ? Une nuit, et après plusieurs bières, j’avais fait part à l’homme qui se cache derrière La Mverte de ma fascination pour Guns’ n ‘Roses. Il m’avait répondu, amusé: « Ah, mais tu es gay, alors?». Ses paroles m’ont poursuivi jusque dans mon sommeil. A l’écoute de cet EP, j’ai envie de lui rétorquer la même chose. Car le parisien, accompagné du chilien Alejandro Paz, a juste décidé de nous re-jouer la scène de club du Cruising de William Friedkin. C’est violent, martial et ça donne envie scander le refrain en pointant vers le ciel ses mitaines en cuir clouté. Limite Judas Priest, comme titre. Tiens d’ailleurs, Rob Halford, l’hurleur du Priest, est un des seuls frontman de heavy metal à avoir fait son coming out. Ce qui explique peut-être le délire fouet et Harley Davidson sur scène. Coïncidence ? Je ne crois pas…

Paprika Kinski – Steady Lover

C’est incroyable, tous ces groupes de merde qui flottent autour de nous. Ils sonnent tous comme Disclosure ou Bat For Lashes. Ces mecs portent des jeans slims, ont des plumes dans les cheveux et jouent de la batterie électronique. Vous les avez sans doute entendu par hasard dans l’émission Le Grand Journal de Canal+, ou bien encore, lu leur nom au hasard d’une affiche de festival. Dans deux ans, on n’en entendra plus parler, mais il y a toujours un groupe encore plus merdique avec un nom improbable pour les remplacer. C’est sans fin. J’appelle ça de la musique Spotify. Qu’ils aillent tous se faire foutre, nous on a Paprika Kinski, et on l’aime déjà. Avec son morceau Steady Lover, elle nous offre un hymne très simple et maitrisé, inspiré du Cure frigidaire rose de « Three Imaginary Boys » avec ligne de basse élégante et cowbells. Album à venir et affaire à suivre. Avec tout notre amour.

Andrew Claristidge – Delorean’s Dream

Au niveau ambiance cinématique urbaine hi-tech avec photographie léché, on cite souvent Blade Runner ou Miami Vice. Mais on oublie trop souvent le Black Rain de Ridley Scott (1989). Un buddy movies sous-estimé à l’esthétique magnifique, qui est beaucoup plus qu’un ersatz de Michael Mann. Un film aussi beau que les tableaux rococos de Frederico Andreotti. Dans Black Rain, on suit un Michael Douglas jetlagué à Osaka qui se bat contre ses démons intérieurs et des Bozosoku en Suzuki GSX400 customisés. Le tout dans un Osaka futuriste, filmé de nuit, blindé de pubs Pepsi Cola digitales à t’en faire péter la rétine et de nuages de fumée sortant des plaques d’égouts. Andrew Claristigde a bien compris de quoi on parle, lui. Et il nous sort pas un EP, non, mais un album entier : « Danser Ou Mourir» qui collerait comme BO parfaite à Black Rain. Du grand art, zéro déchet, le gars est appliqué. Je lève mon pouce Facebook bleu.

Dawad – Catharsis

Alerte : encore un marseillais. Dawad n’essaie pas de nous en mettre plein la vue, mais juste de jouer avec notre petit cœur grenadin : basse new-wave sèche, sample vocal de crack-addict qui arrive au bout de sa vie et une ambiance pas si éloignée d’Echo & The Bunnymen. Là où tout le monde veut jouer au dur et en finir avec tous les crimes impunis, Dawad tente juste de jeter les bases d’un monde meilleur sous Ableton. La réalité de demain. Chose rare, il y a un coté sensuel et deep sans tomber dans les merdes de house de droite. Vous vous souvenez du Just Around The Corner de Cock Robin ? Bah, c’est un peu pareil mais avec des synthés.

Rework – Acid Control

Hey, les mecs de Rework sont de retour. C’est ultra sombre, très drogué et bordélique. Ce n’est rien de moins qu’une version démo de Jesus & Mary Chain sous mescaline. Ouais, quand les Mary Chain posaient leurs santiags en peau de serpent dans le summer of ove anglais de 88, avec un disque sous-estimé comme « Automatic » de 1989. Rempli de tubes pour les immortels de demain tels que Here Come Alice ou UV Ray, cet album a dû servir de base à Rework pour enregistrer son anthem sous barbituriques. Ça tourne pendant près de sept minutes, on voudrait que cela ne s’arrête jamais : ambiance Detroit givré dans la Cars de Gary Numan et sa Tubeway Army, bribes de sample vocal découpé au cutter et grosse montée de nappe trance tout droit sortie d’une vieille Roland MC505 en plastique dégueulasse. Un aller retour à Heavy Metal City. Du grand art.

https://youtu.be/K7XDF_mWhR0

Moscoman & Red Axes – Dikembe Manutu

J’ouvre ma boite aux lettres et je mate la couverture du magazine sous blister qui m’attend : un groupe à la con, avec sous titré dessus « le groupe brûlant de 2016 ». Je soupire et j’ai envie de répondre « mon cul, ouais! ». Prenez des mecs comme Red Axes et Moscoman : ça, c’est brulant. C’est même plus que ça. Chacune de leurs sorties immole vive toute concurrence. Ces mecs sont armés de putain de lance-flammes. Leur dernier cocktail Molotov est un deux-titres : C’est kraut barré, psychédélique, ça sonne comme une démo bancale pour Ze Records. Il y a un coté primitif et lo-fi dans leur dance musique mutante qui est proprement irréelle. Encore un remède contre la médiocrité ambiante et qui conforte dans notre idée que l’époque actuelle regorge de groupes comme Red Axes qui n’ont rien à envier aux Jefferson Airplane ou Talking Heads.

19 commentaires

  1. Rien à dire sur la sélection de musique affriolante. Mais pour le fact checking nerd : Banjo & Kazzoie est considéré comme un classique de la plate-forme 3D, à peu près le seul à pouvoir rivaliser avec Mario 64 sur N64; Conker’s Bad Fur Day est un jeu parodique particulièrement irréverencieux (« de mauvais goût »), en 3D « ouverte », pas du tout un plate-forme en couloir à la Crash Bandicoot. Les deux jeux ont des scores critique consolidés de 92/100. 😉

  2. Soldier est un titre du duo pop de Berlin « Yosoy » REMIXé par la dame noir ( un duo Marseillais ) . Ca serait bien de dire les choses dans l ordre au lieu d écrire cette surrenchère de mots crues pour faire « cool » à chaques lignes ( c’est crevant à la longue) . D ailleurs je me demande pourquoi cette compile s’appelle slow porn. Comme si parler de cul était encore subversif de nos jours ..Parlez des artistes car là, on sent bien que le  » journaliste » ne pense qu à sa propre fan base en jouant la carte  » jveux etre cool, jveux qu on me lise, jveux du like, jveux etre ironique » etc …Sauf que c est juste vulgaire, égocentrique, mal écrit et surtout mal informé. L égo trip du journaleux c est bien, la bonne info, c est mieux.

    1. Hello Mec, « Slow Porn » est le nom choisi par le duo d artistes. Slow Porn et La dame Noir sont bien 2 projets differents, le premier un duo et l autre un bar, club, label et producteurs. Donc en gros ça fait tjrs super « cool » de critiquer les journalistes en jouant la carte » jveux etre cool, jveux qu on me lise, jveux du like, jveux etre ironique » , mais vaut mieux etre bien informé.

      1. Slow porn est deja un créneau ( porno beauf ) donc passons sur l idee.. J avais compris que la dame noir et slow porn deux projets différents et j ai l habitude de voir des DJ non musicien tirer la couverture a eux car a aucun moment dans cet article, vous mentionnez le nom de ceux qui sont a l origine de cette chanson ..Soldier et Il est la le souci …

      2. Toi qui a l air de vendre ta came sur ce webzine, je te vois mal critiquer cet article écrit par un gars (mister love) qui n a pas compris que son style (qu il croit décapant) et juste surfait, lu mille fois bref périmé ..
        Les gens qui donnent leurs avis ici ne court pas apres le like ou ne cherchent pas a amuser leurs potes « critique musicale » en faisant du  » style » pour se faire un nom comme tu sembles le penser car ils n ont rien a vendre.
        L arroseur arrosé ca marche pas la.
        Je pense que les commentaires sur cet article donne la couleur ..Ca se voudrait qui se voudrait « cool trash wooo  » mais c’est juste épuisant de banalité, comme cette playlist.
        Les titres originaux sont quand meme bien meilleur. Leila.

        1. Jsuis bien d accord avec toi Leila ..beaucoup de forme sans fond ..et PHred noir « qui a l air de vendre sa came sur ce webzine  » essaie encore …car oui, cet article sucks et sa playlist n a rien de punk, c est juste du remaché et c est pas vouloir etre « cool » que de le dire. Faut arreter de s inventer des vies un peu.

  3. Oui Gonzai , ne tombe pas dans cette fausse fièvre décomplexé au accents cul Punk salive techno coke qui plait aux djeun’s. Livre nous de belles info sur de la bonne musique. Soyez cool, parlez plus des artistes et moins de truc people à la sauce pétasse fievre cul salive …etc ,) Bon ok, le truc sur Colplay j ai bien ri car il fallait que quelqu un s en charge ..ils sont fatigué les gars. Sinon niveau son ces tracks sont sympa mais il n y a rien de révolutionaire hein? Papa Garnier aurait pu jouer ces titres il y a 10 ans déja ..va falloir patienter un peu pour la révolution En attendant Gonzai, tu peux laisser tes amies retourner au Velvet …

  4. Bon, la caution punk de Gonzai ..comment dire …un peu fatigué non ? J ai la nostalgie de ces journalistes qui parlaient vraiment musique en citant vraiment les artistes, qui a produit ce track, qui a écrit ces paroles et cette ligne mélodique, qui chante, bref, qui fait quoi.
    Ici on assiste a un numéro de pigiste qui a du se relire mille fois en plein one man show avec un maximum de mots trop trop cool et de références supraultra « cool » comme VHS , cul , coke, ..bref , j aime pas cette branlette a la sauce technikart ou syndicat du hype ..vous avez tous le meme style ..c est a celui qui sera le plus cyniquement drole et vous oubliez souvent l essentiel ..bref..
    je m ennuie et c est difficile d´y voir claire.
    Et puis taper sur une ambulance comme le groupe Coldplay es ce vraiment utile? Pas besoin d etre fan d INXS pour rire de ce groupe ..trop facile mister love, les bons mots ne font pas tout
    . Punk c est un état d esprit ..pas du calcul.
    Il n y a pas eu de révolution musicale depuis 20 ans, il va falloir vivre avec et ne pas inventer des nouveaux punks juste pour faire semblant.

  5. Je comprends pas le lien avec le mouvement Punk, je comprend pas le lien avec le porno également ….Ca me fait penser a ces tshirt d ACDC portes par les hypter début 2000 …tous avec le tshirt mais personne avec les albums …

  6. J’ai écouté vite fait les morceaux dont tous les sites de musiques plus ou moins sérieux ont déjà parlé depuis longtemps, mais j’ai pas réussi à lire le texte, parce qu’un mec qui écrit en 2016 comme si son rêve était de devenir stagiaire chez Vice, je peux pas. Désolé.

  7. Moi ce qui me pose soucis, c’est que je les trouve pas très punks ces disques de musique electronique de danse. Certes, ils font kiffer quelques kids, mais j’ai aussi un peu de mal avec la formulation, sauf le respect de tout le monde.

    Pour ne pas gueuler en vain mais tenter d’illustrer le propos, voilà quelques disques qui me semblent mieux correspondre à la notion de danger et d’agressivité que je prête volontiers à la notion punk :

    https://perfektfunktion.bandcamp.com/
    https://soundcloud.com/prr-prr/prr001-maoupa-mazzocchetti-o-horror-na
    https://lostdogsentertainment.bandcamp.com/album/kiwisubzorus-le-matin-entertainers-vol-1
    https://soundcloud.com/somaticae/somaticae-live-2013-ep-03-zouk
    https://31decembre.bandcamp.com/releases

    Désolé d’alimenter ces comments qui me semblent d’ailleurs relativement connement orientés sur la forme, mais c’est vrai que ça me trottait un peu dans la tête face à cette serie.

    1. Je suis tout à fait d’accord : c’est un problème de terminologie. On parle ici de midtempos (ça tourne autour de 115bpm) influencés vaguement par la cold-wave, ni plus ni moins. Il y a une scène, c’est vrai. Elle a sa place ici. Quant à parler de « nouveaux punks » (façon « nouveaux romantiques »)… N’est pas Ivan Smagghe qui veut.

  8. Bob ben l’auteur de cet article peut soumettre sa playlist chez Colette Pour faire mouiller les petites culottes du Faubourg St Honoré y a pas de meilleurs arguments.Du « Punk » à la sauvagerie d’un poisson rouge histoire de ne pas déranger les conversations et les achats.

    A.Chamfort, la dauphine de la chanson française, c’est la caution vintage c’est ça?

    Dans ce genre d’article on cite toujours un modèle de boite à rythme histoire de faire pro, bien sûr l’auteur sait à peine programmer une machine à laver mais c’est pas grave…
    Bonjour chez vous.

  9. Ralala quelle bande de pute d utiliser Chamfort …c est le diner de con ici ou bien? Nous emmerde ces DJ sans vision, sont ou les musicos?? revenez!!!

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