Avec « Lustful Sacraments », Perturbator ressuscite Metropolis en version post-punk

Si Fritz Lang se repointait aujourd’hui, il se la péterait probablement pas mal : son film Metropolis, chef d’œuvre de 1927, a vachement bien vieilli. Un siècle plus tard, le 5e album de Perturbator (alias James Kent) semble même coller parfaitement à l’esthétique de cette dystopie SF. Pour ce qui est du son, le producteur en profite surtout pour se renouveler en piochant des influences du côté de The Cure, Joy Division et Depeche Mode.
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