PLUGS
Ceux qui l’aiment prendront le train

Sur le papier, le premier album de Plugs semble tout juste bon à exciter trois mormons lors d’une boum sans alcool : un nom à coucher dehors, une pochette bariolée comme un short à Goa, et puis cette signature sur le label d’Eurostar qui rappelle surtout que partir à Londres sur un coup de tête, c’est devenu hors de prix. Autant vous dire qu’à priori, on se dirige tout droit vers une chronique chiante et monotone comme un… comme un voyage en train.
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CULTURE G
Noel Fielding’s Luxury Comedy

Toutes les semaines, la Gaîté Lyrique et Gonzaï vous proposent le double G, soit l’association de deux lettres au service d’une même cause : la découverte des plaisirs enfouis, entre un accent circonflexe et le tréma. Cette semaine dans notre Culture G, un peu de culture générale avec « Noel Fielding’s Luxury Comedy », une série anglaise qui réconcilie glam et pop culture.
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MILES KANE
Casimir VS Mr Hyde

Il est bien loin, le temps où le rockeur britannique avait une aura sexuelle palpable à 3 kilomètres à la ronde. Aujourd’hui, la querelle oppose les Kooks aux Arctic Monkeys, rien de très excitant. Et quand bien même suis-je accro au binôme Rolling Stones/Kooks, Miles Kane est quant à lui 100% Beatles/Artcic Monkeys, tout droit sorti d’une publicité pour Penhaligon’s feat. the Kooples, avec une tête de sale gosse et des futals trop bien coupés pour être honnêtes. Miles Kane ? Un nom qui est à lui seul une véritable marque de fabrique « made in UK ».
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BRETON
Le kouign aman périmé

Dans la catégorie « groupe branché écouté et oublié », Breton tient une place de choix parmi la ribambelle d’expressionisme rock électro venant titiller le synthé comme une pute la demi-molle d’un fonctionnaire ferroviaire. Après trois EP et un passage obligé par les Transmusicales, les quatre Londoniens aboutissent leurs pseudo-expérimentations dans un premier album déjà ringard.
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ARCTIC MONKEYS
Sueur et tranquillisants

Pascal, dans ses « Pensées », parle du divertissement comme d’un moyen pour l’homme d’échapper à l’ennui, et donc à Dieu. En s’ennuyant, l’homme se recentre sur lui et prend conscience de sa finitude, de la mort et du fait que Dieu est sa seule solution face à la vanité de son existence, et la seule issue du salut de son âme. L’expression ennui mortel vient d’ailleurs peut-être de là ?
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