En 1976, Marc Zermati, Pierre Thiollay, Larry Debay et quelques autres illuminés convoquent l’ensemble de la scène européenne pour le premier festival punk au monde dans un trou paumé français du sud-ouest, à Mont-de-Marsan. Trente ans plus tard, Zermati a les bolloks : un imposteur nommé Alain Lahana, promoteur du ‘’gratin rock’’ (Bernard Lavilliers, Phil Collins… AU SECOURS), réclame la paternité d’un festival où il n'était pourtant que simple roadie. Récemment décoré par sa ‘’meilleure amie’’ Patti Smith de la médaille des Arts et des Lettres, ledit Alain a comme qui dirait la mémoire qui flanche. L’occasion pour le fondateur de Skydog d’écrire un droit de réponse où les pendules sont remises à leurs places et les épingle à nourrices là où ça fait mal.
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Open Market, 1972

Nous sommes fin 72, ou peut-être début 73. On s’en fout. Si pour moi l’année s’annonce bien, c’est que l’Open Market que j’ai ouvert depuis peu rue des lombards, à Paris, est déjà devenu plus qu’une simple boutique de disque, c’est un incontournable lieu de rencontres où se retrouvent toute la faune rock et autres outsiders qui débarquent a Paris, de Londres, N.Y.C ou L.A. C’est un head shop à l’américaine, au beau milieu des Halles. On y trouve tout ce qui nous fait vibrer : bootlegs, imports, singles d’ici et d’ailleurs, tous ou presque appelés a devenir culte ou collectors. Des affiches, qui aujourd’hui se vendent encadrées, dans les galeries art ! Mais aussi des fanzines et mags de rock d’outre atlantique et d’outre manche, des comix a la Freak Brothers, ou Crumb, des songbooks pirates faits maison d’Hendrix au Velvet pour ne citer qu’eux. En 73, Yves Adrien, rock writer et dandy aussi décadant qu’Hell’égant, vient travailler à l’Open Market, dont la cave est reconvertie en salle de répet pour Henrie-Paul et ses Rockettes, Elodie Lauten et Jacno. Nous sommes rejoint peu de temps après par Alain Pacadis, la plume vitriolée derrière la rubrique rock de Libé. On baigne non stop dans les guitares de Détroit du MC5, les morceaux hypnotiques du Velvet, les cris électrique de l’iguane ou le trash punk des Dolls que je rencontre en fevrier 73 a Boston, puis New-York. Pour nous, maintenant c’est clair : proto-punk is dead, vive le punk. Il n’en faudra pas plus pour qu’on se lance dans des projets délirants nés de cette époque où tout est possible.

Des 1972, nous avons crée notre label Skydog avec Peter Meulenbroek a Amsterdam, et Larry Debay à Londres pour Bizarre/Skydog. L’Open Market devient le lieu de prédilection pour tous ceux qui feront partie de ce mouvement : McLaren, Nick Kent, Chrissie Hynde, Joe Stevens, Giovani D’adamo, L’equipe de Creem avec Lester Bangs, les Dolls, les Groovies ainsi que tous ces musiciens décalés dont la tournée passe par Paris. Tandis que la cave se remplie, on crée un réseau de distrib’ à travers la France pour soutenir ce mouvement en plein essort. Du catalogue Skydog en passant par Patti Smith, Lenny Kaye, Television, Iggy, etc, chaque ville (ou presque !) à son disquaire déjanté acquis à la cause ! Avec mon frère de son Pierre Thiollay (qui en précurseur de ce qu’allait devenir la presse créera ensuite Gig, puis Vinyl, premiers journaux de rock gratuits, bien avant l’heure) on embrayera direct sur les tournées. En 1974, c’est la naissance de Skydog Management. D’abord avec des groupes français tels que Bijou, Shakin’Street, Asphalt Jungle ou les Lou’s, puis avec Eddie and the Hot Rods, Tyla Gang et même les Clash, qui nous confient en 76 le co-management exclusif pour la France. L’idée de monter un festival avec tout ce petit monde se dessine. Ce sera le premier festival punk au monde. L’histoire fera le reste.

https://youtu.be/oUEEUDQNt1A

Je me lance. J’en parle avec Assaad Debs ami et promoteur [devenu par la suite directeur du pôle concert du Palace et gérant du tourneur Corida, NDR], qui a entre autre monté le concert mythique de Nico et Tangerine Dream, la Cathedrale de Reims. Il me dit d’appeler Marc-Duduche- Dubosc (déjà client de l’Open Market et promoteur à Mont-de-Marsan) qui sera peut-être partant. Dès le départ, nous obtenons le soutien indéfectible de Jack Riviera de Stiff records (qui sortira en parallèle avec Skydog le premier single des Damned) et de Nick Lowe, Ted Caroll et Roger Armstrong de Chiswick Records (label des Gorilla’s), aujourd’hui manager director de Ace Records.

Ce premier ferstival tombe plutot mal, car les politiques ont décidé d’interdire toutes manifestations rock. Mais c’est compter sans l’énergie de la passion qui nous drive. J’établis le billing. A L’époque, peu de groupes sont réellement punks, et nous n’avons même pas de blé, mais les Damned viendront au dernier moment grâce à nos rapports avec leur manager qui comprend l’importance de ce que nous essayons de faire. Bien d’autres groupes viendront, comme Count Bishop, Eddie and the Hot Rods, Tyla Gang… Entre temps les politicards du coin décident d’annuler le show qui doit avoir lieu aux arènes que Duduche a réussi à obtenir gratuitement ! Pierre descend illico sur place, et coup de chance, découvre que le commissaire du coin est pied noir comme moi. Non seulement l’interdiction sera levée, mais les arènes nous seront bel et bien accordées comme prévu.

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2015 : l’establishment a rendu les armes, mais sa connerie ne cesse de briller. Il y a de quoi rire quand j’apprends qu’un imposteur s’est fait décoré par le gouvernement pour avoir supposément monté ce festival ! Moins punk tu meurs… Je ne veux pas de lauriers ni de médaille à la con, mais qu’on rende à César ce qui est à moi. Ce festival je l’ai pensé, respiré, vécu dedans comme dehors, alors qu’un mec qui était tout juste roadie du haut de ses 16 ans, vienne prétendre qu’il a tout monté, c’est un peu fort. Mais facile, vu que presque tous les protagonistes qui pourraient témoigner en France sont soit morts, soit out. Aujourd’hui encore, il y a encore des gens pour lui cirer les bottes pour avoir un backstage à tel concert [Alain Lahana fait tourner Patti Smith et Iggy Pop en France, NDR] ou pour ne pas perdre ses invites V.I.P, vu qu’il a fait carrière en tant que tourneur. Moi, je n’ai que la vérité et l’histoire du rock à partager. Pour beaucoup ca ne pèse pas lourd dans la balance. Et pour les sceptiques, je tiens à leur diposition les contrats, les affiches, et même les billets.

Ce qui me remonte, c’est que tous les groupes anglais qui ont joué à Mont-de-Marsan en 76 ou 77 sont tous écoeurés de ce révisionnisme à la Française. Ils me demandent quoi faire, et moi je sais que je me battrais jusqu’au bout pour tous ceux qui ne sont plus là. Quant à ce loser [Lahana est toulousain, born to loose ? NDR] sans la moindre élégance, il n’appartiendra jamais au vrai monde du rock, qui ne vient que grâce à un code d’honneur qu’on ne trahit pas. Même s’il faut du temps, l’Histoire finira par reprendre ses droits.

Marc Zermati, Londres, 10 novembre 2015

En savoir plus (et pour rire un peu) :

Une vibrante interview d’Alain Lahana pour La Dépêche
Un portrait du même homme pour BETC POP, où rien que le titre prête à sourire : « Alain Lahana : dans les coulisses de l’ami des rockstars »

27 commentaires

  1. Salut Marc Z ,c’est Philip P ! J’étais dans l’Asso de « Duduche » ,(Sgt Controleur Militaire à la Base de MdM) où j’étais responsable de la Sécurité ,et je suis un Rocker né ! Je tiens à confirmer tes dires,je suis triste que l’on puisse te faire du mal ! Il ne faut pas dire qu’Alain Lahana est un imposteur,c’est une pratique Française ! J’ai bossé avec notre regretté Pierre Thiollay , pas dans la billetterie ,les comptes ,le secrétariat ,mais sur le terrain,tu le sais ! Beaucoup de choses n’ont pas été dites , encore ,qui a vu par exemple ,les 450 Gardes Mobiles en tenue de combat ?La Ba 118 était une place stratégique ,Force de dissuasion Atomique ,la Sécurité était d’Etat ! Je suis passé devant le Préfet ,qui m’expliqua ,qu’il était le Chef de mon Général ,et qu’il fallait que je refuse ce Festival ! Je n’ai pas cédé, ma carrière de Controleur était finie ! Les Festivals de 76 et 77, sont ton Oeuvre,et l’Asso d’André Marc, en béton ,et Rock, tes Arénes ! La note de Police de 1976 , n’était partie à la poubelle ,ils l’ont ressortie pour 1977, et on a fait face !
    A chaque fois que l’on se voyait ,on s’embrassait, permet moi te t’embrasser encore ,et de t’assurer de mon soutien ,car je ne suis ni mort , ni out ,juste à 12000 kilomètres !!
    Philip P

    1. je suis l’auteur du livre ‘Punk sur la ville’ qui a mis le feu aux poudres. Et pourtant : suite à mon enquête, Assad Debs n’a rien à voir avec cette aventure et cela ne s’est pas passé comme Marc Zermati croit s’en souvenir. Les ‘inventeurs’ du festival sont bien, suite à une discussion le lendemain matin du concert d’Eddie and The Hot Rods au théâtre municipal de Mont-de-Marsan,entre Alain Lahana, Pierre Thiollay et André-Marc Dubos. Thiollay, travaillant avec Zermati a la production de concerts, a fait part à ce dernier de cette idée et Zermati, grâce à son réseau, a trouvé des groupes. Zermati a été super important pour ce festival, mais pourquoi s’entêter à vouloir à tout prix en être celui qui en a eu l’idée? Ce n’est pas lui et alors ? Cela n’enlève rien à son travail ni à son aura, et son nom reste attaché à ce festival pour toujours comme il l’est à toute l’aventure punk.. Peut-etre parce que ces 3 jours cumulés ont été un moment fondateur de sa vie et de sa carrière, qui est bien loin derrière, alors que pour Alain Lahana, qui ensuite a fait tourner les plus grandes superstars et demeure aujourd’hui le tourner-manager et confident d’Iggy Pop et de Patti Smith, Mont de Marsan n’est qu’un détail dans son parcours? C’est en tout cas bien triste de voir un type aussi novateur et passionné devenir un concentré de haine et de rancoeurs….:-(

      1. Bonjour Mister ,on s est loupe de peu ,a Mont de Marsan ,lorsque vous prepariez votre livre Punk sur la ville, avec Miss Betty.
        Beaucoup d articles ,font reference ,au livre de Thierry Saltet. Ce qui me sidere ,c est que partout on lit ,que MdM (la balise aeronautique de la ville) etait le trou du cul du Monde ,alors que c etait totalement faut ! La ville etait a moitie composee de militaires ,dans quel but ?
        Faisant partie des differentes Asso Montoises ,pour ces Festivals et autres concerts Rock ,responsable entre autre de la Securite ,je peux vous garantir ,que c etait le trou du cul du Monde ,sauf pour l Etat Francais ,et j etais Controleur a la Base Aerienne ,et ce fut d autant plus difficile ,de faire celui de 1977, je suis bien place pour le savoir. C est un oubli enorme ! L absence de signaler l implication Politique de l Asso ,via une liste des Jeunes aux Municipales (77), et l importance de la Base pour l Etat Francais, est une erreur professionnelle. On comprend mieux le vide ,entre societe civile ,et societe nationale.

  2. ah c’est bien on sait ce qui a mis le feu aux poudres…. MOOSSIEUR alain gardinier; je rigole !! ton bouquin c’est d’la merde mon pauvre; il deviendra JAMAIS culte, rêve pas…. pour qui tu te prends d’humilier l’auteur de l’article avec tes sous-entendus ??? En plus il ne dit PAS que c’est lui a eu l’idée; il explique le contexte où cette idée est née; de toute façon, dans ce contexte, ce qui est fort ce sont ceux qui ont cravaché pour que ça se fasse; Marc, porte plainte !!!

      1. Mlle Angie, j’humilie l’auteur de l’article ? Mais je ne sais pas qui c’est et ne le mentionne même pas ! C’est celui qui ne prend pas parti-pris en parlant d’Alain Lahana comme d »un imposteur, promoteur de lavilliers, Phil Collins, AU SECOURS ! ! ». ? Il est dommage de résumer la carrière de quelqu’un à une accroche, surtout quand on connait celle de Lahana, qui a fait éclore des dizaines de groupes (oui, il craint, il vient de recevoir la médaille des arts et des lettres, cet imposteur, et c’est Patti Smith qui lui a remise en lisant un texte qu’Iggy Pop a écrit spécialement. Ca pue !). Sinon, je ne suis régalé a écrire ce livre de merde (au fait, pourquoi faudrait-il que tout devienne CULTE, même un simple bouquin ?) . Oui, Marc veut absolument être celui qui a eu l’idée de ce festival, et le contexte de base était un juste petit dej a Mt de Marsan auquel il ne participait pas car il était à Paris, représenté sur pal épar Pierre Thiollay.. Mais quelle histoire !! 🙂 Je persiste : quelle importance ? Mont de Marsan était-il si essentiel dans l’histoire de l’humanité pour reviser la petite histoire et se balancer des injures ?. Oui Marc est le personnage clé du festival,il en a fait la programmation, mais non il n’ en a pas eu l’idée ‘de base’.
        Oui, il a été un personnage majeur de l’histoire du punk (et du rock en général) en France . Respect. J’éspère de tout coeur qu’il passera encore de longues années en bonne santé sans se faire un ulcère avec cette histoire et, maintenant que je connais ce site, j’y reviendrai: ça bouge ici ! 🙂

  3. Tout le monde a des idées…mais le créateur d ‘un projet c est celui qui a fait …..C’est tout. Revendiquer la paternité d ‘une idée c est une forme de révisionnisme..par exemple en dans Star Strek en 70 , Il y avait l « idée d un réseau d ‘ordinateur connectés entre eux et pourtant les scénaristes de Star Trek ne revendiquent pas d’avoir crée Internet ….Donc Lahana n a pas « monté le festival punk de Mont-de-Marsan parce que le père d’un copain « pouvait avoir les arènes gratos comme il le dit…..

  4. Client de l’Open depuis 73, merci Marc à tout ce que tu as fait pour nous. Je sais que ce n’est pas ces connards usurpateurs qui t’impressionneront. Ce qui est désolant c’est de constaer que la République donne des médailles (des hochets disait Napoléon) à des usurpateurs. Mais on s’en fout de ces salonards (pas salopards, salonards) c’est toi le vrai rocker. Fuck them.

  5. Dans son bouquin « Bordeaux Rock(s) », Denis Fouquet, qui a beaucoup enquêté, écrit dès le début (p. 115) que « « Dudu » (André-Marc Dubois) [le « local » dans l’affaire] et ses collaborateurs, aidé par Marc Zermati, en furent les courageux initiateurs. ». Page suivante, à propos de l’édition 77, il mentionne en priorité « Marc Zermati, responsable de la partie anglaise de l’événement », Alain Lahanna n’y figure, parmi les autre collaborateurs, qu’en tant que manageur du premier groupe de Paul Personne… Manager Personne ce doit être frustrant ! 🙂

  6. ERRATUM : Suite à une discussion avec Alain Lahana, il apparait que cette polémique a été éteinte par le principal intéressé le 6 novembre dernier, notamment dans une interview accordée à France Culture, où Lahana précise de lui même le rôle de Marc Zermati en tant que producteur : http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=5107967 (le propos est écoutable à 50’34). L’incident est donc cloturé et soyons philosophe, ce papier aura au moins permis aux néophytes de redécouvrir les faits d’armes de Marc Zermati (comme au final, ceux de Lahana).

  7. Enfin une bonne nouvelle !! Comme je le dis plus haut ,Alain Lahana n’est pas un imposteur ! Pour Philippe Serra ,c’est André Marc Dubos ,secrétaire de l’Association (1901) de MdM,dont je faisais partie ,et on était pas nombreux ,mais mis à part « Dudu » ,et le Président Retacker,personne d’autre n’est mentionné ,ni sur les « Bébés Sky » ni sur le livre d’Alain Gardinier ?? Dudu ne fait jamais mention, à notre implication Politique ,pour les Municipales de Mont de Marsan, de la Facture de Police soit disant ,mise à la poubelle ,parce que le Festival de 1976 s’était bien passé ,et qui est ressortie pour l’annonce du futur de 1977, afin de nous dissuader de l’organiser. Qui a payé ? Pourquoi aucuns uniformes ,n’a été vu ,pendant le Festival ,sauf celui des Punks ??
    Et si j’avais été d’accord avec le Préfet ,lors de notre entrevue,(citée plus haut) ,que serait il advenu de notre Association ?? Le temps d’en refaire une autre….il fallait que le temps passe ,et qu’elle soit acceptée par la Préfecture….! La Paternité de ce Festival a été rendue à Caesar ,merci Alain Lahana,
    bises à Marc Z ,je voudrai saluer ici la mémoire de Pierre Thiollay.
    Pour les Auteurs, je serai en France ,en mai 2016 ,et aussi à Mont de Marsan.

  8. « Je ne veux pas de lauriers ni de médaille à la con » Non ? pourtant ça fait trente ans qu’à chaque que je le lis que Mark Z revendique d’avoir inventé le punk, non pas en France, mais dans le monde (et quand ça n’est pas lui c’est Adrien). Personne ne dénie leur talents mais bon vu la qualité des scènes punks US, UK comparée à celle de l’hexagone, on se dit que c’est pas plus mal que les inventeurs soient restés loin de leur invention. Que cette « affaire » soit franco française montre la portée du truc. Paris centre du monde 🙂

  9. Non , il y avait un gars destiné aux photos ,de l’Association ,pour ce Festival .Il devait les partager avec les membres de ,et ,on était pas nombreux !
    Ces Photos sont ressortient ,comme le « bon vin » ,que l’on sort de sa cave !

    1. Putain! Slipman ! Tu y étais en 76 avec ton sli^kangourou et ta pelle ? Moi j’étais à celui en 1991 avec les VRP, aux arènes toujours

  10. 18/11/16 do not pay more than £,(or,- Punk 45:L Punks, the French connection, the 1st wave of French punks 1977/80- we will piss on Yr creeps’) what’s up dans L arénes 2 M2M ? une convention de skeuds ou l’on vend elliott murphy, calvin russell, marillion, kiss, Arthur h/Higelin, et peut-être le scoop d’ici 10 ans… le punk a ete une affaire de freeways et pas 2 pognons comme suscites, ‘career oppurtinaties’ ? soignez vos dents!

  11. Et oui Patrick Tandy , une affaire de Fun , d envie , question Money , on en parlera pas et pourtant elle etait essentielle , Marc Z et ses connections Londoniennes, un bras droit,petit par la taille , Grand par le boulot qu il a abattu (Pierre Thiollay la Classe) , une Asso 1901 rodee, avec a sa tete un comandatore de Dudu , la Municipalite et la Police, intelligentes ,et l Etat n a pu que subir , devant tous ces talents.

  12. Sur France Inter ,Jean Lebrun ,met Alain Lahanna , comme 4 eme Homme du Festival de 77 ,avec tout le respect que je lui dois ,il ne faisait pas partie de L Asso Montoise,jamais citee d ailleurs ,et c est une grosse lacune, son Secretaire (Andre Marc Dubos) ,est cite par Marc Z ,comme Promoteur ,alors que c est une Asso Loi 1901.Alain L , grand Pro francais des spectacles ,etait parmi nous certes ,et il nous a bien aide, c etait un Pote au Potes.Le quatrieme Homme de ce Festival , etant Pierre Thiollay , rip le Grand Pierre ,alors on raconte n importe quoi et on tire la couverture sur soi.

  13. l’Appel du 3 joints 2017 a CENAC entre 2 mers / Gironde/33+ que 33 ce jour la/ LE PUNK 4oANS DE nO FUTURE Expo, Debat avec Manœuvre a ala manœuvre, concert, Fatty & shorty ramones et leur moto ampli, the last gng in town from Angers, bouncer sound system, si tu y’est pas c que t pas p££k.

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