C’est à cela que servait un jukebox : repérer une fille, s’avancer langoureusement vers la machine à néon, foutre la piécette dans la fente, presser le bouton à côté d’un titre mielleux (Be my Baby, You’re my Wonderful One) et fixer la nana dans les yeux, histoire d’entamer une conversation oculaire. Deuxième piège à filles : la guitare qui, au-delà de « tuer le fascisme », reste l’instrument de torture des roucouleurs des quais et parcs de France. Dans le genre « avec mes arpèges, j’emballe… »
Pour cette deuxième partie de la spéciale drague, Radio Gonzaï choisit les charmeurs en chef : Elvis, Cale (à vous de deviner lequel), et tout un tas de types en boutons de manchette qui savaient lever de la jambe.
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Une question : c’est quoi le nom de la compil spanish harlem ?