Pour un oui, pour un non, la mère de Maxime Schmitt l'envoyait au cinéma où il s'est éduqué à coups des films russes d'après-guerre et de ceux d'Elvis. Pourtant, l'époque exigeait de répondre à l'appel d'un autre art qui battait plus fort : le Rock & Roll. Guitariste de Vince Taylor - dont il parle longuement dans cette émission - producteur pour Capitol, partenaire de cyclisme des membres de Kraftwerk, Schmitt a quelque chose dans la parole de terriblement punk, un accent qui trahit l'esprit de celui qui laisse des marques de dents.

Pour d’obscures raisons, cette saison de notre émission de radio n’a jamais pu être mise en ligne durant l’année. Mais cet été, séance de rattrapage avec rediffusion de toutes nos émissions, en commençant par Maxime Schmitt. Et puis, pour ne rien gâcher, sa playlist s’approche d’un genre de perfection.

4 commentaires

  1. j’ai le promo de la compile de de reprise de kraftwerk. super objet au deumeurant. le titre je pense que c’est Pizzicato five qui reprennent Dentaku. il y a même une reprise d’afrika bambaataa de it’s more fun to compute

Répondre à Ole Hank Annuler la réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*
*

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

partages