Pendant quelques années, Eric Tandy était mon voisin. Pour moi, il était avant tout un journaliste musical de bon goût avec qui j’aimais discuter le bout de gras sur le trottoir. Parfois, il me parlait de son passé de punk rouennais, du groupe dont il était le parolier et le manager, Les Olivensteins, de la boutique de disques dans laquelle il officiait, Mélodies Massacre…

A chacune de nos discussions, j’avoue que j’avais du mal à m’imaginer ce frêle personnage affable et taquin en pleine tempête sous un crâne révolutionnaire. Pourtant, un soir que j’étais affalé dans la tribune du Zénith pour assister à la tournée de reformation des Stooges, je l’avais aperçu dans la foule en train de headbanger avec sa crinière argentée, le sourire aux lèvres et le pas de danse classieux. Son mojo punk était toujours là, intact. Aujourd’hui, on a tous les deux déménagé, perdu le fil. C’est la sortie d’une compilation des Olivensteins chez Born Bad Records qui a servi de prétexte à un nouvel échange. Et cette fois-ci, le magnéto a tourné.

Premiers émois musicaux ?

Au départ, ma culture c’est Rock&Folk et Pop Deux (émission TV présentée par Patrice Blanc Francard – NdR). J’avais 14, 15 ans quand mes premiers goûts musicaux se sont réellement formés, j’étais fan du Grateful Dead, des Byrds, mais aussi des Stooges. Je me souviens avoir demandé Fun House avec un album de Ten Years After pour Noël. Comme un mec normalement constitué, à l’époque j’ai d’abord préféré le Ten Years After, mais petit à petit Iggy et sa bande m’ont plus marqué. Je me souviens de mon premier album acheté à l’âge de 13 ans, c’était Natural blues de Taj Mahal. (…)
Je viens d’une famille de ce qu’on appelait la classe moyenne, ce qui ne veut plus trop dire grand chose aujourd’hui. J’habitais dans une grande tour dans la banlieue rouennaise, pas la plus pourrie mais pas la mieux non plus. Pour moi, la grande sortie quand j’étais gamin c’était de descendre à Rouen et d’aller me balader chez le disquaire pour regarder ce que je ne pouvais pas acheter. La passion me tenait déjà et mes parents étaient très mélomanes. Ma mère était très branchée classique et mon père, lui, était un petit amateur de jazz. Le fait d’acheter des disques était donc assez naturel dans la famille.

Donc, au départ, une culture plutôt West Coast ?

Oui, très américaine, même si dans les surboums on entendait les Stones et Creedence. J’étais plus dans Live Dead et American Beauty du Grateful Dead, ce qui était totalement anormal pour un gamin de 14 ans à Rouen. Autour de moi la culture était beaucoup plus hard rock, Led Zep, Deep Purple…

Le prog’ ?

Non, bizarrement pas du tout, il y avait bien quelques potes qui avaient le premier King Crimson, mais moi j’aimais avant tout les guitares et les choses pas trop ambitieuses.

Tu connaissais déjà toute la bande de Mélodies Massacre ?

Ces amitiés sont arrivées plus tard. En fait au lycée, je séchais beaucoup le bahut, plutôt que d’aller en cours je préférais faire le hors-la-loi solitaire et aller me balader dans la vingtaine de rues du centre-ville de Rouen. Un jour je suis tombé sur ce magasin de disques, Mélodies Massacre où, chose incroyable pour une petite boutique de province, il y avait des imports américains, des vinyles à coins coupés. Ça a été le flash ! Petit à petit, et surtout parce que je devais être assez insupportable,  j’ai sympathisé avec le patron Lionel Herrmani qui m’a fait bosser les mercredis après-midi et les samedis quand il y avait du monde. Lui avait dix ans de plus que moi et allait fréquemment à Londres depuis les sixties, il était pote avec Philippe Garnier qui avait tenu le magasin Crazy Little Things au Havre.

Ce sont ces deux boutiques qui sont à l’origine de l’activité musicale dans la Normandie des seventies ?

 

Complètement, à partir du moment où il y a eu ces deux points centralisateurs, plein de choses ont gravité autour. Et puis il y avait des liens étroits avec l’Angleterre, les Ferrys que tu prenais à Dieppe ou au Havre, la traversée coûtait que dalle. Moi je n’avais quand même pas assez de fric parce que j’avais coupé les ponts avec ma famille, il a fallu que j’attende 1976 pour pouvoir aller dans les clubs londoniens. A ce moment-là j’ai fait des virées pour voir des concerts à la Roundhouse ou au Marquee. Parfois on ne savait pas trop où on mettait les pieds, dans des salles plus confidentielles, on allait voir un groupe sur la foi d’un single.

Vous étiez très branché pub rock à l’époque ?

Oui bien sûr, on allait voir des concerts au Havre où il y avait déjà des salles. Le père de Philippe Garnier était président d’un petit club de foot et donc sous ce couvert-là, il pouvait organiser des concerts. Toute la scène de l’époque est passée là-bas, Dr Feelgood, Eddie and the Hot Rods… En 75, il y a eu un Rock’n’roll Christmas avec une partie des grands groupes pub rock, et les Dogs. L’année suivante, on a eu les Flaming Groovies. Au départ, il n’y avait pas de salle à Rouen mais un peu plus tard, Crazy Little Things, Mélodies Massacre et l’Open Market de Zermati à Paris ont formé une sorte de trio qui s’arrangeait pour que les groupes puissent jouer dans les trois villes et gagner sur les frais. Et il ne faut pas oublier Little Bob qui a été déterminant, grâce à lui il y avait du rock, c’était l’un des seuls.

 

Mais il y avait bien d’autres groupes quand même, genre hippies, vu ta culture tu avais des atomes crochus avec eux ?

Oui, il y avait bien les vieux babas mais on se foutait de leurs gueules parce qu’ils étaient très prog’, avec des claviers horribles. C’était plutôt le trip à jouer du Ange, qui a quand même fait beaucoup de dégâts en France. Du mauvais prog’ avec des sons pourraves et des textes de paysans, c’était vraiment épouvantable (rires).

Revenons à Mélodies Massacre. Tu sympathises donc avec Dominique Laboubée, le chanteur des Dogs, et vous allez sortir un premier single…

Oui, Dominique avait juste deux ans de moins que moi et on partageait la même attitude, toute la bande habitait dans le même quartier, ça nous a permis de tisser des liens forts. Le label, c’est grâce  l’impulsion de Lionel Herrmani qui était vraiment incitatif. Il y avait aussi les modèles comme Rough Trade, Beggars Banquet ou Rock On qui étaient des magasins de disques avant d’être des labels. On a enregistré le premier single des Dogs dans la cave du magasin. À la base j’avais écrit un texte en français qui devait être une espèce de pub pour Mélodies Massacre, mais le projet a vite abouti à un vrai 45 tours des Dogs, ce qui était une idée bien meilleure.

La mayonnaise musicale a pris avant l’explosion des Sex Pistols ?

Bien sûr. Dès 75, la musique commençait à partir dans tous les sens, on suivait beaucoup les rééditions de garage sixties dans la lignée de la première compilation Nuggets. En 76, il y avait les premiers singles de Television et de Père Ubu, sans compter les New York Dolls ou les Stooges. Grâce au magasin, on recevait toutes les nouveautés.  En 78, il y a eu Sordide Sentimental, le label de Jean-Pierre Turmel, qui a sorti le premier single de Joy Division et des trucs fous genre Toxedomoon ou Throbbing Gristle. Garnier avait émigré en Californie et il nous envoyait des colis de disques vraiment pointus…

C’est la culture underground rock garage…

Exactement, l’underground qui était baba-prog-kraut est pratiquement devenu mainstream, et du coup le rock est redevenu underground parce que c’était mal vu chez les musiciens. On entendait partout la fameuse expression « ils ne savent pas jouer ».

Puis peu après il y a eu l’Exo 7, la salle rock de Rouen…

Au départ c’était un cinéma, qui plus tard a été transformé en club, l’Exo 7. Grâce à l’insistance de Melodies Massacre, les Clash ont joué à Rouen en avril 77, ça a été un bouleversement énorme, j’ai vu des gens se couper les cheveux le lendemain. A part les Sex Pistols, tous les grands groupes de cette période ont joué là-bas : on a eu les Jam à deux reprises, les Stranglers, les Cramps, Elvis Costello, les Damned… La situation géographique était idéale, et on avait des Parisiens qui faisaient le déplacement pour voir les groupes qui étaient sold out chez eux.

Revenons à toi, tu es le parolier des Olivensteins, tu as toujours écrit en français ?

Oui. Ce qui est marrant c’est qu’avant, je n’avais jamais écrit de texte et je n’écoutais pas de musique chantée en français. Dutronc me faisait marrer mais c’était juste du second degré. Chez mes parents, il n’y avait pas de chanson française, à part deux 45 tours de Gilbert Bécaud que l’on a rayé avec mon frère pour ne plus les subir. En fait, c’est sorti comme ça, mes textes étaient des petites conneries que je griffonnais, pas du tout dans une démarche intellectuelle. Dans les Olivensteins, le seul qui connaissait la musique c’était Vincent Denis, le guitariste. Mon frère n’avait jamais chanté de sa vie avant de se retrouver derrière un micro. Le groupe a été monté comme des centaines de groupes à l’époque, presque d’instinct.

Et tes paroles sont provocatrices et radicales.

J’étais naturellement provocateur et colérique. Quand les Pistols sont arrivés, même si je ne comprenais pas très bien l’anglais, la musique et le chant m’évoquaient un univers auquel je voulais coller. Pour les influences, à la limite on pourrait citer Céline, même si j’écrivais avant de m’y plonger. A 18 ans et 1 jour, j’ai décidé de lâcher tout ce qui pouvait me lier à quelque chose d’officiel dans la société.

Quand tu écris des textes comme Euthanasie ou Patrick Henry est innocent, tu es dans quel état d’esprit, c’est de l’épate-bourgeois ?

Patrick Henry est innocent c’est en réaction à tous les groupes dans la lignée des Sham 69 qui avaient tous une cause à défendre, ils sortaient tous des chansons avec « machin ou ducon is innocent ».  Du coup, je me suis demandé qui pouvait être innocent, et à l’époque les médias parlaient beaucoup de l’affaire Patrick Henry, je me suis dit que c’était un bon candidat (rires).

(En 76, Patrick Henry a kidnappé un enfant de 8 ans qu’il a étranglé quand il s’est rendu compte qu’il n’obtiendrait pas la rançon d’un million de francs demandée à la famille. Son cas est par la suite devenu un exemple central dans les discussions pour l’abolition de la peine de mort. Il évitera la guillotine grâce à une plaidoirie de Robert Badinter – NdR)

Il y a un grand paquet de chansons que j’ai écrites en réaction à ce que je vivais à l’époque. A la différence des groupes de rock parisiens qui étaient très dandy, coupés du monde, je m’intéressais beaucoup à l’actualité, je lisais les journaux et les trois quarts des chansons des Olivensteins m’ont été inspirées par des faits divers. Fier de ne rien faire est un peu différente. Le texte est vraiment sorti rapidement et Dominique Laboubée a mis une mélodie dessus. Je parlais de mon frangin qui ne foutait rien. Comme c’est lui qui chantait, il n’avait pas de problème pour se fondre dans le texte. Bon, ça parle aussi du détournement d’un Boeing par des Japonais, c’était très à la mode à ce moment-là (rires).

Vous n’étiez pas un groupe politique ?

Indirectement, si. Il faut voir que l’on fait partie du peu de jeunes qui n’ont pas voté Mitterrand en 81. Ça nous paraissait aberrant, on était nihilistes, des anars, donc hors de question de rentrer là-dedans. J’ai grandi dans une famille de gauche avec une tradition ouvrière, et à tous les repas dominicaux j’assistais à l’engueulade collective alors qu’ils étaient tous d’accord. La tendance était SFIO, PS et c’est sûr que ça ne donnait pas envie. Pour moi, quand Mitterrand est arrivé, c’était le héros des instits et on ne peut pas dire que je les portais dans mon cœur (rires). Paradoxalement, le groupe n’était pas très bien vu par les militants d’extrême gauche parce qu’ils ne comprenaient pas trop nos provocations, et le rock politique c’était Lavilliers et Trust, tu vois l’époque de merde… Ah ça, il y en avait des cons en colère! Le seul morceau un peu politique, c’est Je hais les fils de riches et je précise « mais je sais bien qu’ils s’en fichent », ce qui montre bien que l’on n’était pas dupe, que l’on savait que rien ne changerait rien. Personnellement, j’ai beaucoup de respect pour les mouvements anarchistes et libertaires, mais comme c’est le seul système politique qui ne tient que par l’intelligence des gens, ça ne peut pas marcher.

Et Pétain, Darlan, c’était le bon temps c’est quand même politique, non ?

 

Non pas vraiment, ça fait référence aux mecs qui, à Paris ou à Rennes, s’habillaient en nazis et qui trouvaient ça chic d’être en miliciens. C’était bien sûr pour dénoncer la vieille France mais, au premier degré, c’était l’idée que Pétain, c’est encore plus pourri que de s’habiller en nazillon.

Et des vrais groupes punk qui chantaient en français, il n’y en avait pas tant que ça ?

Pas grand monde… Les infâmes Starshooter avec leur single Betsy Party, mais pour nous c’étaient des yéyés, la suite des Chaussettes Noires. Au Havre, ils chantaient dans un anglais abominable parce que le français, c’était lié à la variété. On se foutait pas mal de la scène parisienne qui était souvent de la pâle adaptation d’idées anglaises ou ricaines. Ils se trimballaient avec leurs références culturo-dandy-décalé, ça nous faisait doucement marrer. On faisait beaucoup notre truc dans notre coin et c’est en ça que l’on était énormément influencés par les scènes locales anglaises. Il se passait des choses à Sheffield, à Manchester autour des Buzzcocks… On a longtemps refusé de monter à la capitale, ce qui, au final, n’a pas été qu’une bonne décision. Chez nous, les Dogs étaient bien meilleurs que nous mais on se sentait différents. En France, les groupes punk étaient dans les clichés, à part peut-être les Stinky Toys qui s’étaient inventé un monde sixties un peu chic – même s’ils étaient catastrophiques en live -, il n’y avait pas grand chose de bien. Les Metal Urbain vivaient à Londres, il y avait Asphalt Jungle mais bon… Et il ne faut pas oublier que pour les abrutis, le punk c’était Trust ! (rires). Souvent, tu voyais des anciens hard-rockeux déguisés en punks, et en général le bassiste ne s’était pas encore coupé les cheveux. Ils lui foutaient un badge Sex Pistols, mais ces mecs jouaient boogie avec des solos à rallonge ! Nous, l’un de nos modèles, c’était les Swell Maps parce qu’ils jouaient dans la tradition rock’n’roll à la New York Dolls, mais avec un côté timbré et noisy.

Et il y avait de la came à Rouen ?

Non, pas du tout, la plupart du temps on se bourrait la gueule et on fumait un peu. La première fois que j’ai vu une seringue c’était à Marseille un peu plus tard, il n’y avait rien de tel à Rouen. J’avais le sentiment que l’héro était une drogue de babas. On savait pour les New York Dolls, les Heartbreakers, mais ils venaient de New York. Chez nous, il y avait bien un peu d’amphètes mais c’était des cachetons prescrits. Je me souviens qu’un de mes potes allait voir un pseudo médecin chinois cradingue qui recevait dans un garage de la banlieue rouennaise, assis sur des pneus. Tu allais le voir pour une ordonnance ou un arrêt de travail mais certainement pas pour te faire soigner (rires).

Le nom du groupe est par contre inspiré de Claude Olivenstein, un médecin qui voulait soigner les camés.

 

Oui, mais ce n’était pas tant qu’il s’attaque à ça qui me titillait, c’était son côté spécialiste. Dès qu’il y avait un programme TV qui parlait de drogue et de jeunesse, on le sortait systématiquement du placard. Lors d’une émission, on l’avait entendu dire que le rapport à la drogue dans la génération précédente n’était pas si dangereux que ça mais qu’il y avait un phénomène très grave pour la jeunesse qui arrivait : le Punk. Il mettait les parents en garde contre cette nouvelle culture. Faites attention, bla bla bla… Et un jour, je vois cet homme à un concert de Johnny Thunders au Gibus, il était tout grassouillet au milieu des ados tous maigres du public… L’image m’est restée et le nom était accrocheur.

Et ça s’est avéré être le frein principal pour le groupe ?

Oui, il a refusé que l’on utilise son nom. Le père du batteur, qui était psychiatre, lui a bien envoyé une lettre en lui disant que l’on n’était que des gosses qui s’amusaient, mais il n’a rien voulu savoir et a répondu qu’il irait jusqu’au procès. Philippe Constantin, chez Barclay, voulait nous signer mais le label voulait l’autorisation pour l’utilisation du nom. Dans le cas contraire, il aurait fallu en changer. On était contre l’idée. On a été cons, on aurait dû trouver un homonyme et on l’aurait collé derrière la batterie (rires). On avait bien cherché un Olivenstein dans le bottin de Rouen mais il n’y en avait pas. Finalement, notre brillante carrière de groupe s’est arrêtée là dessus alors que l’on avait dix-huit morceaux prêts à être enregistrés.
L’autre raison, c’est que le public avait changé. Il y a eu l’apparition d’une faune qui prenait Pétain Darlan au premier degré. Ça voulait dire que notre petit côté situationniste ne pouvait pas être compris par ces gens-là, on avait manqué quelque chose.

Et vous n’aviez pas de problèmes avec les flics, les RG ?

Pas au début, ou alors on ne le savait pas. En 80, on avait un pote qui bossait à la préfecture de Seine Maritime qui a su que les RG s’intéressaient à nous, mais on n’a jamais eu de rapport direct avec les flics. Je pense que c’est aussi dû au fait que l’on n’était pas assez populaires pour vraiment déranger. C’est con, on aurait dû continuer rien que pour savoir comment ils auraient réagi.

Les Olivensteins // LP 30ième anniversaire // Born Bad
http://www.myspace.com/claudeolivensteins

16 commentaires

  1. Super cette interview! Rock’n Rouen is not dead! (PS/ il y a un bouquin qui est sorti sur l’EXO 7 assez bien foutu. Où l’on hallucine sur le nombre de groupes venus jouer là-bas à l’époque -Cure, Clash etc.- Bien avant que la prog passe de Superbus à K’s Choice, et avant que ça ferme, surtout)

  2. Marrant, encore un disque édité par JB WIZZZ, sur lequel les habitués de ce site on pourtant l’habitude d’abondamment dégueuler.

  3. nan mais faudrait voir à ne pas balancer des conneries grosse comme toi, gonzai doit traiter (et positivement) toutes les sorties de born bad et si mes souvenirs sont bons il y a une interview de JB dans nos archives, une simple recherche google t’aurait permis d’éviter le ridicule et de sortir de ta secte d’à priori.
    Quant à JB, je pense que le garçon doit savoir se défendre seul s’il se sent attaqué en quoique ce soit. Au passage ici il est avant tout question des Olivensteins et pas de commérages de clochers.

  4. On parle pas de toi Serlach, mais des mecs qui laissent des commentaires sur le site.
    Il a raison, il y a je ne sais plus quel article sur votre site ou les « commentateurs » lui crachent à la tronche à qui mieux mieux.

  5. c’est bien ce que je disais, en fait on est même pas dans une guerre de clocher mais plutôt dans une cour d’école.

  6. Ahhhh… je passais mes après-midi libres à emm… Eric chez Mélodies Massacre et à écouter ces singles improbables et inoubliables.

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