Bruit Noir : l’interview noir et blanc

Dans les coulisses de la société du divertissement, Pascal Bouaziz et Jean-Michel Pirès ont crée un vrai décor en béton armé et ça s’appelle Bruit Noir, équivalent musical des malaises à l’écran de Larry David où les deux seniors du punk disent tout haut ce que personne d’autre qu’eux ne pense. Pour « fêter » la sortie de leu deuxième album, il fallait donc convoquer ces deux faux sinistres pour parler de ce qui ressemble à une adaptation du Voyage au bout de la nuit de Céline par Yann Curtis, puisqu’on est en français dans le texte. Moteur, sans couleur. 
Lire l'Article
Lire l'Article

Symboter ressort ses vieux synthés pour sauver l’humanité des mauvais DJs

Un peu comme dans Terminator, où Schwarzy se téléportait d’un futur dystopique pour déboîter Sarah Connor avant de se retourner contre la super-intelligence artificielle Skynet, Symboter en a gros contre les machines. Producteur de musique électronique dès les années 70, cet Allemand de presque 60 piges a décidé de ramener ses synthétiseurs analogiques pour contrer l’apocalypse technologique et les producteurs à deux balles.
Lire l'Article
Lire l'Article

Profession rock critic : Benoît Sabatier

Dézingueur, prescripteur, conseiller du culte, pinailleur, bon copain, enfoiré de service, drôle, encyclopédique, suffisant, ennuyeux… Quels que soient ses ambitions, son style et son approche de la chose, le critique rock est devenu au fil des années un élément essentiel du paysage musical. Mais qui est-il ? On en a déjà rencontré quelques-uns. La série se poursuit aujourd’hui avec Benoît Sabatier, écrivain, réalisateur de films ovniesques, et rock critic éminent, que ce soit chez Technikart, Rock&Folk , Schnock ou… Gonzaï.
Lire l'Article
Lire l'Article

Même 7 ans après, le Turc Mécanique reste le label le plus bordélique de Paris

A la différence de beaucoup de labels « indés » campant sur leurs valeurs comme des autostoppeurs au milieu du désert, le label parisien du Turc Mécanique joue depuis 7 ans à la roulette russe au point qu’on ne sait plus vraiment s’il s’agit d’une discographie proto-punk, post-clubbing ou simplement néo-n’importe-quoi. Il en est de même pour cet anniversaire parfaitement désorganisé dont le feu d’artifice final est prévule samedi 16 février à la Station. Les deux « in-dirigeants » derrière les signatures de Jardin, Colombey ou encore Sida ont pris le temps de nous expliquer tout ça. Enfin, de tenter de nous expliquer tout ça.
Lire l'Article
Lire l'Article

The Villejuif Underground vs Bryan’s Magic Tears

Quand deux des groupes de rock les plus débilement géniaux du moment signent sur le même label (Born Bad), il devient très tentant de les réunir dans une même pièce pour savoir qui a le moins de chromosomes. Qui fout le plus la merde en tournée ? Qui décapsule le plus vite ? Et qui a sorti le meilleur album ? Réponses avec ce combat entre Le Villejuif Underground et Bryan’s magic tears.
Lire l'Article
Lire l'Article

Therapie TAXI : l’interview mise au poing

Qualifiés voilà un an de « fils de gynécologues du 16ième arrondissement ayant réussi l’exploit de faire parler d’eux sans savoir ni chanter, ni composer », les membres de Therapie TAXI ont depuis fait du chemin. Nommé aux Victoires de la musique catégorie « révélation scénique », le groupe a aussi décroché un disque de platine pour « Hit sale », rempli des salles entières partout en France et, pour couronner ce trajet que certains trouveront catastrophique ou exemplaire selon qu’ils préfèrent lire ou danser, accepté une rencontre à lire ci-dessous comme un combat de free fight Kaaris vs Booba. A ma gauche, un critique en fin de trentaine ne comprenant rien à ces chansons Instagram taillées pour les fêtes de village, de l’autre un groupe plus cohérent qu’il n’y paraît et pour qui le succès populaire est tout sauf une insulte. Le gong vient de sonner, c’est parti.
Lire l'Article
Lire l'Article

The Pretty Things : une dernière interview pour la route

Ridés comme des tortues mais frais comme des lapins de six semaines, l’un des derniers groupes anglais des sixties encore en activité était de passage en octobre à Paris pour une Gonzaï Night aux signes d’adieu. Après 50 ans au service de sa Majesté, Phil May et Dick Taylor ont décidé de raccrocher les gants, mais pas le micro. Ils ont pris le temps de revenir sur leur carrière en dent de scie, mais aussi sur la relation au groupe de Mick & Keith. 
Lire l'Article